L'inconscient échappe-t-il à toute forme de connaissance ?
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L'inconscient échappe-t-il à toute forme de connaissance ?
… De quoi, déjà – première question – est fait l’inconscient ? Et, consécutivement – deuxième question – de quoi est faite la connaissance ?
L’inconscient n’est-il pas une “forme” de connaissance ? Assurément, naturellement, il en est bien une : celle de tout être vivant, détenteur de cette “connaissance” sur cette planète, la Terre… Ou ailleurs, dans l’univers, sur quelque autre planète…
Et cette “forme” de connaissance qu’est l’inconscient, qui n’a rien à voir (ne peut se comparer) avec la connaissance au sens où nous entendons la connaissance en tant qu’humains ; “fonctionne” telle une “mécanique” animée d’énergie et qui est d’une complexité en évolution constante et sans doute qui s’accélère à mesure que le temps passe…
L’on pourrait dire que dans l’inconscient en tant que “forme de connaissance”, il y a une énergie pouvant être de l’intelligence… Une intelligence propre aux êtres vivants, qui anime les êtres vivants, toutes les fonctions, toutes les structures tout ce qui fait les êtres vivants, ce qui détermine leur existence, leur évolution, leur mode de vie en rapport avec l’environnement dans lequel se trouvent les êtres vivants, dans la relation qui les lie, les associe, ou les oppose entre eux…
L’inconscient, concernant l’ensemble des êtres vivants, concerne donc l’être humain puisque l’être humain est un être vivant parmi tous les autres…
La connaissance au sens où nous l’entendons et la définissons, en tant qu’humains, n’est pas, cette connaissance là, une connaissance “innée”, mais une connaissance qui s’acquiert… Mais en étant à l’origine, dès même la conception avant la naissance (fœtus), comme un grain de blé constitué de tous les éléments nécessaires à sa germination, puis à son développement…
Et c’est l’environnement extérieur, au tout début, le plus proche, et ensuite s’étendant, qui apporte ce qui va peu à peu, entrer dans la connaissance.
Le cerveau de l’être humain, de l’espèce “Sapiens” (la seule et unique espèce humaine sur notre planète depuis environ 35 000 ans, soit après la disparition de la deuxième espèce humaine qu’était celle des Néandertaliens) comporte en sa partie frontale le “centre de gestion” de la connaissance qui s’acquiert et qui donc, définit ce qu’est la connaissance humaine, ce qu’implique la connaissance humaine (dont la faculté d’adaptation, d’imaginer, de penser, de réaliser, d’analyser, de savoir, de créer, de transformer, de fabriquer)…
Si l’être humain, l’espèce Sapiens, n’avait pas eu suffisamment développée cette partie frontale du cerveau, siège de la connaissance qui s’acquiert, il aurait, comme les Néandertaliens, disparu, sans doute “un peu plus tard” … Quoiqu’il disparaîtra inéluctablement… Peut-être laissant la place à une autre, à une nouvelle espèce humaine dont on pourrait penser que la partie frontale du cerveau serait plus développée encore que celle de Sapiens…
Le cerveau humain comporte aussi, mais dans sa partie arrière, tout comme le cerveau d’autres espèces autres qu’humaines, tout comme le cerveau des Néandertaliens, le “centre de gestion” de l’inconscient ( de l’inné, du transmis génétiquement ), le “centre de gestion” en quelque sorte, de l’intelligence innée, naturelle… Autrement dit la connaissance intuitive, non consciente mais réelle, naturelle…
L’être humain de l’espèce Sapiens est le seul être vivant à avoir la partie frontale du cerveau, aussi développée… Quoique la différence ne doit pas être si importante que cela, lorsque l’on la compare avec celle par exemple, des chimpanzés ou des grands singes, ou encore à bon nombre de mammifères (chiens, chats, porcs, rats, entre autres)…
… À la question de savoir si l’inconscient échappe à toute forme de connaissance, je ne vois pour toute réponse que celle ci :
l’inconscient et la connaissance sont liés. Mais le lien est davantage, bien davantage, un lien de complémentarité, que de dépendance…
Ou pour formuler autrement :
L’inné – le transmis génétiquement – le “capital naturel” – l’intuitif – le “bagage” – d’une part ; et ce qui s’acquiert – les savoirs – ce qui s’apprend – ce qui nécessite de la pratique et de la maîtrise et de l’expérience, d’autre part… Sont liés. Mais le lien est davantage un lien de complémentarité que de dépendance…
Et c’est le lien de complémentarité, selon sa “teneur”, sa résistance, sa force, qui détermine ce que l’on appelle le “destin” (le devenir) de l’espèce, d’une espèce…
L’inconscient n’est-il pas une “forme” de connaissance ? Assurément, naturellement, il en est bien une : celle de tout être vivant, détenteur de cette “connaissance” sur cette planète, la Terre… Ou ailleurs, dans l’univers, sur quelque autre planète…
Et cette “forme” de connaissance qu’est l’inconscient, qui n’a rien à voir (ne peut se comparer) avec la connaissance au sens où nous entendons la connaissance en tant qu’humains ; “fonctionne” telle une “mécanique” animée d’énergie et qui est d’une complexité en évolution constante et sans doute qui s’accélère à mesure que le temps passe…
L’on pourrait dire que dans l’inconscient en tant que “forme de connaissance”, il y a une énergie pouvant être de l’intelligence… Une intelligence propre aux êtres vivants, qui anime les êtres vivants, toutes les fonctions, toutes les structures tout ce qui fait les êtres vivants, ce qui détermine leur existence, leur évolution, leur mode de vie en rapport avec l’environnement dans lequel se trouvent les êtres vivants, dans la relation qui les lie, les associe, ou les oppose entre eux…
L’inconscient, concernant l’ensemble des êtres vivants, concerne donc l’être humain puisque l’être humain est un être vivant parmi tous les autres…
La connaissance au sens où nous l’entendons et la définissons, en tant qu’humains, n’est pas, cette connaissance là, une connaissance “innée”, mais une connaissance qui s’acquiert… Mais en étant à l’origine, dès même la conception avant la naissance (fœtus), comme un grain de blé constitué de tous les éléments nécessaires à sa germination, puis à son développement…
Et c’est l’environnement extérieur, au tout début, le plus proche, et ensuite s’étendant, qui apporte ce qui va peu à peu, entrer dans la connaissance.
Le cerveau de l’être humain, de l’espèce “Sapiens” (la seule et unique espèce humaine sur notre planète depuis environ 35 000 ans, soit après la disparition de la deuxième espèce humaine qu’était celle des Néandertaliens) comporte en sa partie frontale le “centre de gestion” de la connaissance qui s’acquiert et qui donc, définit ce qu’est la connaissance humaine, ce qu’implique la connaissance humaine (dont la faculté d’adaptation, d’imaginer, de penser, de réaliser, d’analyser, de savoir, de créer, de transformer, de fabriquer)…
Si l’être humain, l’espèce Sapiens, n’avait pas eu suffisamment développée cette partie frontale du cerveau, siège de la connaissance qui s’acquiert, il aurait, comme les Néandertaliens, disparu, sans doute “un peu plus tard” … Quoiqu’il disparaîtra inéluctablement… Peut-être laissant la place à une autre, à une nouvelle espèce humaine dont on pourrait penser que la partie frontale du cerveau serait plus développée encore que celle de Sapiens…
Le cerveau humain comporte aussi, mais dans sa partie arrière, tout comme le cerveau d’autres espèces autres qu’humaines, tout comme le cerveau des Néandertaliens, le “centre de gestion” de l’inconscient ( de l’inné, du transmis génétiquement ), le “centre de gestion” en quelque sorte, de l’intelligence innée, naturelle… Autrement dit la connaissance intuitive, non consciente mais réelle, naturelle…
L’être humain de l’espèce Sapiens est le seul être vivant à avoir la partie frontale du cerveau, aussi développée… Quoique la différence ne doit pas être si importante que cela, lorsque l’on la compare avec celle par exemple, des chimpanzés ou des grands singes, ou encore à bon nombre de mammifères (chiens, chats, porcs, rats, entre autres)…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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