De la manière d'exprimer les choses ...
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De la manière d'exprimer les choses ...
... Dans un message que l'on poste sur un blog ou sur un réseau social, ou dans un récit de fiction destiné à publication, faire allusion (indirectement) dans le message à une personne ou à des gens que nous n'aimons pas du tout pour telle ou telle raison ; ou mettre en scène dans le récit de fiction un ou des personnages ressemblant "étrangement" à quelqu'un ou à des gens avec qui nous n'avons "aucun atome crochu" voire nous hérissent, heurtent notre sensibilité... C'est "de bonne guerre".
Mais il n'est plus à mon sens, "tout à fait de bonne guerre" dans un message ou dans un récit, par personnage interposé, ou par une allusion "ciblante", de viser telle ou telle personne en particulier, ou des gens, dans la mesure où ces gens ne nous ont jamais fait aucun mal... Et dont certains, pour autant que l'on les connaisse tant soit peu, pourraient même devenir des amis ou tout au moins des gens avec lesquels on échangerait...
Un message ou un récit de fiction qui vise ou stigmatise quelqu'un ou des gens qui ne nous ont fait aucun mal, simplement parce qu'on suppose qu'ils auraient des réactions qui nous dérangeraient ; n'est pas un "heureux travail d'écriture (ou d'expression)"...
Il n'est pas plus heureux (ou du meilleur effet), de "mettre tout le monde d'accord" autour de soi en exprimant et en diffusant un message ou un texte de réflexion qui, manifestement serait unanimement partagé et pourrait s'apparenter alors à une mode que l'on lancerait, ou à une mayonnaise que l'on battrait et qui prendrait...
Les modes que l'on suit, et les mayonnaises qui prennent, ne font pas une culture et rendent la relation inconsistante...
La seule chose sur laquelle le plus grand nombre peut s'accorder c'est sur la forme (ou la facture)... Pour autant que le plus grand nombre possible ait pu être convié à s'accorder sur la forme...
Dès lors qu'il y a la forme, il n'y a plus ni modes qui s'imposent ni mayonnaises qui prennent ... Il n'y a que des contenus différents et particuliers -et qui coexistent- dans une forme vraie et belle -et cependant diverse- qui est le lien entre tous les contenus...
Mais il n'est plus à mon sens, "tout à fait de bonne guerre" dans un message ou dans un récit, par personnage interposé, ou par une allusion "ciblante", de viser telle ou telle personne en particulier, ou des gens, dans la mesure où ces gens ne nous ont jamais fait aucun mal... Et dont certains, pour autant que l'on les connaisse tant soit peu, pourraient même devenir des amis ou tout au moins des gens avec lesquels on échangerait...
Un message ou un récit de fiction qui vise ou stigmatise quelqu'un ou des gens qui ne nous ont fait aucun mal, simplement parce qu'on suppose qu'ils auraient des réactions qui nous dérangeraient ; n'est pas un "heureux travail d'écriture (ou d'expression)"...
Il n'est pas plus heureux (ou du meilleur effet), de "mettre tout le monde d'accord" autour de soi en exprimant et en diffusant un message ou un texte de réflexion qui, manifestement serait unanimement partagé et pourrait s'apparenter alors à une mode que l'on lancerait, ou à une mayonnaise que l'on battrait et qui prendrait...
Les modes que l'on suit, et les mayonnaises qui prennent, ne font pas une culture et rendent la relation inconsistante...
La seule chose sur laquelle le plus grand nombre peut s'accorder c'est sur la forme (ou la facture)... Pour autant que le plus grand nombre possible ait pu être convié à s'accorder sur la forme...
Dès lors qu'il y a la forme, il n'y a plus ni modes qui s'imposent ni mayonnaises qui prennent ... Il n'y a que des contenus différents et particuliers -et qui coexistent- dans une forme vraie et belle -et cependant diverse- qui est le lien entre tous les contenus...
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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