Ce "JE" qui transparaît toujours...
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Ce "JE" qui transparaît toujours...
… Dans tout ce qui s’exprime, en particulier par l’écriture, et notamment sur les réseaux sociaux internet et les blogs par les publications accompagnées ou non d’images, de photos, de séquences vidéo, des uns et des autres ; mais aussi par les auteurs d’ouvrages qui sont des romans, des récits ou des essais… C’est le narratif qui s’impose, et narrer c’est raconter, décrire, exposer, rendre compte, retracer, tout cela en une histoire ou en un récit et en une succession de faits, d’événements et de personnages réels ou fictifs…
Et le narratif dominant c’est celui du « je », même si « je » n’apparaît pas dans ce qui est exprimé, car « je » d’une manière ou d’une autre transparaît toujours…
Et ce « je », qu’il paraisse ou transparaisse dans ce qui est raconté, décrit, exposé à la vue des autres, soutient – plus ou moins- une réflexion, laquelle réflexion cependant, est souvent influencée par une opinion dominante ou par ce que peut exprimer une personne jouissant de considération, bien connue et dont les propos sont partagés, relayés…
Sortir ou tout au moins se démarquer de ce narratif dominant qui est celui du « je », c’est assurément ce qu’il y a de plus difficile pour qui fait – ou essaye de faire - « œuvre d’écriture » tout au long de sa vie… C’est même tellement difficile que cela paraît quasi impossible…
La liberté que l’on peut prendre dans ce que l’on exprime et que l’on expose à la vue des autres (liberté par rapport à ce qui domine ou s’impose ou fait référence ou se fond dans un ordre commun de pensée), cette liberté est personnelle et donc forcément laisse transparaitre ce « je » que l’on écrit pas…
« On n’est jamais très loin de l’imposture » quoique l’on exprime, en parole ou en écrit, le plus sincèrement du monde et avec la conviction en soi la plus déterminée… Et le seul moyen de ne pas laisser l’imposture s’introduire et demeurer maîtresse du jeu, c’est de lier ce que l’on exprime à son comportement, à ses agissements ; à faire de son apparence le reflet de son intériorité… Et non plus cette image de soi que l’on « fabrique » avec tout ce que le monde et que la société mettent à notre disposition comme sur les étalages d’un marché…
Et le narratif dominant c’est celui du « je », même si « je » n’apparaît pas dans ce qui est exprimé, car « je » d’une manière ou d’une autre transparaît toujours…
Et ce « je », qu’il paraisse ou transparaisse dans ce qui est raconté, décrit, exposé à la vue des autres, soutient – plus ou moins- une réflexion, laquelle réflexion cependant, est souvent influencée par une opinion dominante ou par ce que peut exprimer une personne jouissant de considération, bien connue et dont les propos sont partagés, relayés…
Sortir ou tout au moins se démarquer de ce narratif dominant qui est celui du « je », c’est assurément ce qu’il y a de plus difficile pour qui fait – ou essaye de faire - « œuvre d’écriture » tout au long de sa vie… C’est même tellement difficile que cela paraît quasi impossible…
La liberté que l’on peut prendre dans ce que l’on exprime et que l’on expose à la vue des autres (liberté par rapport à ce qui domine ou s’impose ou fait référence ou se fond dans un ordre commun de pensée), cette liberté est personnelle et donc forcément laisse transparaitre ce « je » que l’on écrit pas…
« On n’est jamais très loin de l’imposture » quoique l’on exprime, en parole ou en écrit, le plus sincèrement du monde et avec la conviction en soi la plus déterminée… Et le seul moyen de ne pas laisser l’imposture s’introduire et demeurer maîtresse du jeu, c’est de lier ce que l’on exprime à son comportement, à ses agissements ; à faire de son apparence le reflet de son intériorité… Et non plus cette image de soi que l’on « fabrique » avec tout ce que le monde et que la société mettent à notre disposition comme sur les étalages d’un marché…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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