Fête des Mères
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Fête des Mères
… Philippe Pétain n’est pas l’inventeur de la Fête des Mères, il est cependant le chef de gouvernement qui, en France, a institutionalisé la Fête des Mères en 1941, en réaction à la baisse de natalité en France à l’époque…
En France, c’est à Artas, un village du département de l’Isère, qu’une cérémonie en l’honneur des mères de familles nombreuses eut lieu, le 10 juin 1906, sur l’initiative de Prosper Roche, le fondateur de l’Union Fraternelle des Pères de famille méritants de la commune d’Artas.
Puis en 1918 le colonel De La Croix-Laval, instaure en France la 1ère journée des mères.
C’est – officiellement – en 1941 que le maréchal Pétain avec sa devise « Travail Famille Patrie », institutionalise la Fête des Mères qu’il fixe le dernier dimanche de mai (ou le 1er dimanche de juin si le dernier dimanche de mai tombe à la Pentecôte).
Et à la libération en 1944, puis avec la 4ème République, puis encore la 5ème, cette « vénérable et emblématique » institution de la Fête des Mères, perdure… Pouvant en quelque sorte être considérée comme un « héritage » du régime de Vichy de Philippe Pétain… Même si, en réalité, la lointaine origine de la fête des mères se situe dans l’Antiquité Grecque ou Gréco-romaine…
Cependant, « à mon sens », la Fête des Mères à l’ école – dans les classes primaires – (préparation, travaux de dessin, de créations enfantines)… N’est pas loin s’en faut « ce qu’ il y a de mieux ou de plus opportun »… Vu la diversité des situations familiales – notamment dramatiques lorsque la mère est partie, ou a abandonné son enfant, ou encore lorsque la mère dont le père s’ est séparé a été remplacée par une « maratre » peu conciliante voire méchante.
Donc, « mettre sur le même pied d’ égalité » en matière de préparation de la fête des mères, à l’ école, des enfants de 6 à 10 ans d’ une classe de CP, de CE ou de CM, ce n’est en aucun cas une « heureuse initiative »…
La Fête des Mères à l’ école, c’est comme les crèches de Noël dans les mairies : une intrusion inopportune de l’ intime, de la conviction, de la croyance personnelle, de ce qu’il peut y avoir de respectable… Dans la « sphère publique » ( purement publique ) … Et la « sphère publique » est faite de diversité de situations, de ressentis et de vécus différents ainsi que de croyances et de sentiments tout aussi différents…
En France, c’est à Artas, un village du département de l’Isère, qu’une cérémonie en l’honneur des mères de familles nombreuses eut lieu, le 10 juin 1906, sur l’initiative de Prosper Roche, le fondateur de l’Union Fraternelle des Pères de famille méritants de la commune d’Artas.
Puis en 1918 le colonel De La Croix-Laval, instaure en France la 1ère journée des mères.
C’est – officiellement – en 1941 que le maréchal Pétain avec sa devise « Travail Famille Patrie », institutionalise la Fête des Mères qu’il fixe le dernier dimanche de mai (ou le 1er dimanche de juin si le dernier dimanche de mai tombe à la Pentecôte).
Et à la libération en 1944, puis avec la 4ème République, puis encore la 5ème, cette « vénérable et emblématique » institution de la Fête des Mères, perdure… Pouvant en quelque sorte être considérée comme un « héritage » du régime de Vichy de Philippe Pétain… Même si, en réalité, la lointaine origine de la fête des mères se situe dans l’Antiquité Grecque ou Gréco-romaine…
Cependant, « à mon sens », la Fête des Mères à l’ école – dans les classes primaires – (préparation, travaux de dessin, de créations enfantines)… N’est pas loin s’en faut « ce qu’ il y a de mieux ou de plus opportun »… Vu la diversité des situations familiales – notamment dramatiques lorsque la mère est partie, ou a abandonné son enfant, ou encore lorsque la mère dont le père s’ est séparé a été remplacée par une « maratre » peu conciliante voire méchante.
Donc, « mettre sur le même pied d’ égalité » en matière de préparation de la fête des mères, à l’ école, des enfants de 6 à 10 ans d’ une classe de CP, de CE ou de CM, ce n’est en aucun cas une « heureuse initiative »…
La Fête des Mères à l’ école, c’est comme les crèches de Noël dans les mairies : une intrusion inopportune de l’ intime, de la conviction, de la croyance personnelle, de ce qu’il peut y avoir de respectable… Dans la « sphère publique » ( purement publique ) … Et la « sphère publique » est faite de diversité de situations, de ressentis et de vécus différents ainsi que de croyances et de sentiments tout aussi différents…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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