Prendre soin de sa propre lumière
Page 1 sur 1
Prendre soin de sa propre lumière
… « Lorsqu’on sait prendre soin de sa propre lumière, on n’a pas le temps d’éteindre celle des autres » [ William Sinclair ]
… Sans doute… Ou peut – être, oui…
… Mais « prendre soin de sa propre lumière », à mon sens, implique de la défendre lorsqu’elle est contestée et parfois, brutalement mouchée…
Car les détracteurs sont nombreux, agressifs… Encore « heureux » quand ils se contentent de passer à côté de ta lumière sans la regarder ou la considérant d’un œil sceptique et sans aucune bienveillance ou reconnaissance de son existence…
Le temps d’éteindre la lumière qui aveugle, ou qui est une contrefaçon bien arrangée, de la lumière… Et qui est celle de certains – assez nombreux il faut dire – vient de lui-même sans être cherché et donc s’impose par la force des choses… Donc le temps, alors, on le prend… De moucher ce qui s’apparente à la lumière mais qui n’en est point, et nous brûlerait la peau au passage, à proximité de ceux et celles qui nous offensent, nous contestent ou nous aveuglent…
Reste que, pour la lumière des autres – de certains autres aussi (mais moins présente dans le paysage que celle d’autres certains autres) – et qui peut être bleue, jaune, rouge, orange… Et donc différente de la nôtre qui est verte ou blanche – il ne nous vient pas à l’idée – en principe - de l’éteindre et encore moins de passer de notre temps à l’éteindre… À moins d’être si convaincu, si imbu de ce que notre lumière – verte ou blanche - représente à nos yeux, que nous en venions à moucher la lumière des autres – bleue, jaune, rouge, orange…
… Sans doute… Ou peut – être, oui…
… Mais « prendre soin de sa propre lumière », à mon sens, implique de la défendre lorsqu’elle est contestée et parfois, brutalement mouchée…
Car les détracteurs sont nombreux, agressifs… Encore « heureux » quand ils se contentent de passer à côté de ta lumière sans la regarder ou la considérant d’un œil sceptique et sans aucune bienveillance ou reconnaissance de son existence…
Le temps d’éteindre la lumière qui aveugle, ou qui est une contrefaçon bien arrangée, de la lumière… Et qui est celle de certains – assez nombreux il faut dire – vient de lui-même sans être cherché et donc s’impose par la force des choses… Donc le temps, alors, on le prend… De moucher ce qui s’apparente à la lumière mais qui n’en est point, et nous brûlerait la peau au passage, à proximité de ceux et celles qui nous offensent, nous contestent ou nous aveuglent…
Reste que, pour la lumière des autres – de certains autres aussi (mais moins présente dans le paysage que celle d’autres certains autres) – et qui peut être bleue, jaune, rouge, orange… Et donc différente de la nôtre qui est verte ou blanche – il ne nous vient pas à l’idée – en principe - de l’éteindre et encore moins de passer de notre temps à l’éteindre… À moins d’être si convaincu, si imbu de ce que notre lumière – verte ou blanche - représente à nos yeux, que nous en venions à moucher la lumière des autres – bleue, jaune, rouge, orange…
_________________
" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
Sujets similaires
» Prendre le temps ou non, de parler
» Lumière, obscurité
» De quelle exclusion faut-il prendre le risque d'être ?
» N'être point propre sur soi fait obstacle à l'aide pouvant être apportée par les autres
» Le droit international, le droit propre à un pays ...
» Lumière, obscurité
» De quelle exclusion faut-il prendre le risque d'être ?
» N'être point propre sur soi fait obstacle à l'aide pouvant être apportée par les autres
» Le droit international, le droit propre à un pays ...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous pouvez répondre aux sujets dans ce forum