Résistances ...
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Résistances ...
… L’amour est l’une des deux formes de résistance à la haine, sans doute et tout à fait naturellement d’ailleurs, la moins sujette à option… Car opposer l’amour à la haine non seulement n’est pas courant, mais il faut dire « assez souvent contre productif » dans la mesure où lorsque l’on oppose l’amour à la haine, l’on n’a pas suffisamment en soi, la force qui devrait être associée à l’amour… Donc en conséquence on se retrouve « gros Jean comme devant » (rire)…
L’autre forme de résistance à la haine, c’est la mêlée… Comme dans un match de rugby où les deux « packs » se heurtent et se poussent de leur tête et de leurs épaules aussi fort que possible afin d’enfoncer le « pack » adverse et de saisir le ballon…
L’on peut en dire autant du pardon ou du questionnement en face de l’offense…
De la foi ou de la croyance confrontée au doute…
De l’espérance ou de l’attente devant le désespoir…
De la lumière ou de la clarté contre l’obscurité…
De la joie ou de l’optimisme là où domine la tristesse…
Mais la résistance est toujours difficile.
Et sans doute bien plus difficile encore, par l’amour contre la haine plutôt que par la mêlée…
Par le pardon que par le questionnement en face de l’offense…
Par la foi que par la croyance devant le doute…
Par l’espérance que par l’attente lorsque vient le désespoir…
Par la lumière que par la clarté contre l’obscurité…
Par la joie que par l’optimisme là où domine la tristesse…
La mêlée est un substitut à la haine, sans doute le plus logique…
Le questionnement c’est quand, à défaut de pardonner l’on s’efforce de comprendre…
La croyance est un substitut à la foi que l’on n’a pas…
L’attente c’est quand à l’horizon s’étend encore le désert sans avoir renoncé à l’espérance d’un paysage verdoyant au-delà de l’horizon…
La clarté n’étant qu’un espace circulaire illuminé, de dimension non définie, une tache de lumière dans l’immense étendue de l’obscurité…
L’optimisme c’est quand la joie, ne pouvant se manifester, interdit à la tristesse de dominer…
L’autre forme de résistance à la haine, c’est la mêlée… Comme dans un match de rugby où les deux « packs » se heurtent et se poussent de leur tête et de leurs épaules aussi fort que possible afin d’enfoncer le « pack » adverse et de saisir le ballon…
L’on peut en dire autant du pardon ou du questionnement en face de l’offense…
De la foi ou de la croyance confrontée au doute…
De l’espérance ou de l’attente devant le désespoir…
De la lumière ou de la clarté contre l’obscurité…
De la joie ou de l’optimisme là où domine la tristesse…
Mais la résistance est toujours difficile.
Et sans doute bien plus difficile encore, par l’amour contre la haine plutôt que par la mêlée…
Par le pardon que par le questionnement en face de l’offense…
Par la foi que par la croyance devant le doute…
Par l’espérance que par l’attente lorsque vient le désespoir…
Par la lumière que par la clarté contre l’obscurité…
Par la joie que par l’optimisme là où domine la tristesse…
La mêlée est un substitut à la haine, sans doute le plus logique…
Le questionnement c’est quand, à défaut de pardonner l’on s’efforce de comprendre…
La croyance est un substitut à la foi que l’on n’a pas…
L’attente c’est quand à l’horizon s’étend encore le désert sans avoir renoncé à l’espérance d’un paysage verdoyant au-delà de l’horizon…
La clarté n’étant qu’un espace circulaire illuminé, de dimension non définie, une tache de lumière dans l’immense étendue de l’obscurité…
L’optimisme c’est quand la joie, ne pouvant se manifester, interdit à la tristesse de dominer…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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