L'équation de Drake
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L'équation de Drake
… Frank Drake, le créateur du SETI ( agence de recherche d’intelligence extraterrestre ) s’est posé la question du nombre probable d’existence de civilisations extraterrestres dans – seulement – notre galaxie La Voie Lactée…
Il a élaboré cette équation :
N = R* x Fp x Ne x Fl x Fi x Fc x L
N représente le nombre de civilisations existant dans notre galaxie La Voie Lactée , maîtrisant la technologie pour communiquer par fréquence radio.
Ce nombre N dépend de :
R* taux de formation des étoiles similaires au Soleil
Fp nombre de ces étoiles similaires au Soleil ayant des planètes
Ne nombre de planètes pouvant être considérées comme « sœurs » de la Terre (taille, masse, atmosphère, sols, océans, plus ou moins même « historique » de formation…)
Fl fraction de ces planètes (sœurs) de la Terre susceptibles d’héberger la vie
Fi fraction des planètes abritant la vie où a surgi l’intelligence
Fc fraction des planètes abritant la vie où a surgi l’intelligence et où s’est développée une civilisation technologique capable de communiquer
L temps moyen de durée de vie d’une civilisation où a surgi l’intelligence et où s’est développée une civilisation technologique capable de communiquer
… Il est possible que des éventuels extraterrestres (humanoïdes ou sous autres formes dont nous n’avons pas idée), n’utilisent pas les signaux radio… Mais par exemple, les neutrinos de haute énergie, cependant comme il y en a très peu dans l’espace et qu’ils n’interagissent que peu avec la matière ; cette option pourrait ne pas être retenue…
En revanche les fréquences radios en dessous de 10 GHz … Et en particulier la longueur d’onde de l’Hydrogène 21 cm (entre 1 et 2 GHz de fréquence radio) convient au mieux pour une communication entre civilisations développées, technologiques et intelligentes… L’Hydrogène étant d’ailleurs l’élément le plus répandu dans l’univers…
Le calcul de Drake, avec son équation, fait état d’environ dix mille civilisations en capacité de communiquer… Seulement dans notre Galaxie La Voie Lactée…
Alors, Andromède à 2 millions d’années lumière de la Terre, deux fois et demie plus grande que La Voie Lactée… Les galaxies de proximité (du Groupe Local)… Les galaxies beaucoup plus lointaines (des milliards dans l’univers connu – le seul univers connu) …
… Mon intuition – il s’agit bien d’une intuition et donc plus que de l’imaginaire – c’est que la vie (végétale, animale et « de type humanoïde ») existe ailleurs que sur notre planète La Terre, et que le processus de développement, partout dans l’univers là où la vie est apparue, est le même…
Sans doute les planètes « sœurs » de La Terre ont – elles des apparences différentes, par exemple dans la répartition des terres (continents) et des océans, des atmosphères d’une composition différente quoique relativement proches de la nôtre en ce sens que ces atmosphères sont favorables au développement de la vie ; que les formes de vie (végétales, animales) sont, comme sur notre planète, d’une immense diversité d’espèces tant sous les eaux que sur les terres ou dans l’air, et qu’il existe sur ces planètes lointaines, dans toutes les galaxies, des êtres de type humain, d’apparence plus ou moins similaire à l’espèce humaine sur la Terre… Tout cela s’étant développé et diversifié au long d’une Histoire d’une durée de 3 ou 4 milliards d’années, comme sur notre planète, en des ères, des cycles, avec des disparitions d’espèces jusqu’à la fin de toute vie…
Le temps L représentant, dans l’équation de Drake, la durée de vie d’une civilisation « humanoïde » intelligente et technologique, étant un temps relativement court à l’échelle cosmique ; il est en conséquence difficile, peu probable, très aléatoire, que 2 ou plusieurs civilisations extraterrestres très éloignées les unes des autres, même très développées, puissent se rencontrer et avant même de se rencontrer, puissent communiquer…
Peu de probabilité en somme, pour que le L de la Terre ait lieu en même temps que le L d’une « autre Terre »…
Mais… Vu le nombre de planètes abritant la vie dans l’univers connu ( des centaines de milliards de galaxies) depuis plus de cinq milliards d’années dans les 14 milliards d’années de l’univers)… Le L de la Terre et le L d’une autre planète « en même temps » sont une probabilité d’un nombre « non négligeable »…
Il a élaboré cette équation :
N = R* x Fp x Ne x Fl x Fi x Fc x L
N représente le nombre de civilisations existant dans notre galaxie La Voie Lactée , maîtrisant la technologie pour communiquer par fréquence radio.
Ce nombre N dépend de :
R* taux de formation des étoiles similaires au Soleil
Fp nombre de ces étoiles similaires au Soleil ayant des planètes
Ne nombre de planètes pouvant être considérées comme « sœurs » de la Terre (taille, masse, atmosphère, sols, océans, plus ou moins même « historique » de formation…)
Fl fraction de ces planètes (sœurs) de la Terre susceptibles d’héberger la vie
Fi fraction des planètes abritant la vie où a surgi l’intelligence
Fc fraction des planètes abritant la vie où a surgi l’intelligence et où s’est développée une civilisation technologique capable de communiquer
L temps moyen de durée de vie d’une civilisation où a surgi l’intelligence et où s’est développée une civilisation technologique capable de communiquer
… Il est possible que des éventuels extraterrestres (humanoïdes ou sous autres formes dont nous n’avons pas idée), n’utilisent pas les signaux radio… Mais par exemple, les neutrinos de haute énergie, cependant comme il y en a très peu dans l’espace et qu’ils n’interagissent que peu avec la matière ; cette option pourrait ne pas être retenue…
En revanche les fréquences radios en dessous de 10 GHz … Et en particulier la longueur d’onde de l’Hydrogène 21 cm (entre 1 et 2 GHz de fréquence radio) convient au mieux pour une communication entre civilisations développées, technologiques et intelligentes… L’Hydrogène étant d’ailleurs l’élément le plus répandu dans l’univers…
Le calcul de Drake, avec son équation, fait état d’environ dix mille civilisations en capacité de communiquer… Seulement dans notre Galaxie La Voie Lactée…
Alors, Andromède à 2 millions d’années lumière de la Terre, deux fois et demie plus grande que La Voie Lactée… Les galaxies de proximité (du Groupe Local)… Les galaxies beaucoup plus lointaines (des milliards dans l’univers connu – le seul univers connu) …
… Mon intuition – il s’agit bien d’une intuition et donc plus que de l’imaginaire – c’est que la vie (végétale, animale et « de type humanoïde ») existe ailleurs que sur notre planète La Terre, et que le processus de développement, partout dans l’univers là où la vie est apparue, est le même…
Sans doute les planètes « sœurs » de La Terre ont – elles des apparences différentes, par exemple dans la répartition des terres (continents) et des océans, des atmosphères d’une composition différente quoique relativement proches de la nôtre en ce sens que ces atmosphères sont favorables au développement de la vie ; que les formes de vie (végétales, animales) sont, comme sur notre planète, d’une immense diversité d’espèces tant sous les eaux que sur les terres ou dans l’air, et qu’il existe sur ces planètes lointaines, dans toutes les galaxies, des êtres de type humain, d’apparence plus ou moins similaire à l’espèce humaine sur la Terre… Tout cela s’étant développé et diversifié au long d’une Histoire d’une durée de 3 ou 4 milliards d’années, comme sur notre planète, en des ères, des cycles, avec des disparitions d’espèces jusqu’à la fin de toute vie…
Le temps L représentant, dans l’équation de Drake, la durée de vie d’une civilisation « humanoïde » intelligente et technologique, étant un temps relativement court à l’échelle cosmique ; il est en conséquence difficile, peu probable, très aléatoire, que 2 ou plusieurs civilisations extraterrestres très éloignées les unes des autres, même très développées, puissent se rencontrer et avant même de se rencontrer, puissent communiquer…
Peu de probabilité en somme, pour que le L de la Terre ait lieu en même temps que le L d’une « autre Terre »…
Mais… Vu le nombre de planètes abritant la vie dans l’univers connu ( des centaines de milliards de galaxies) depuis plus de cinq milliards d’années dans les 14 milliards d’années de l’univers)… Le L de la Terre et le L d’une autre planète « en même temps » sont une probabilité d’un nombre « non négligeable »…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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