Bayonne ...
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Bayonne ...
… À plus de mille kilomètres je me trouve des fêtes de Bayonne en cette fin juillet 2022…
Et… « je ne m’en porte pas plus mal... »
Bayonne ? Je n’y suis point revenu depuis février 2017 ! N’ayant guère la « culture » de cette ville et de ses habitants…
Et encore moins de ses grandes fêtes d’été de fin juillet à début août…
Fêtes qui ne sont plus gratuites puisque pour entrer dans l’espace festif bayonnais, il faut se munir d’un bracelet tarifé 10 euros.
Un million de personnes dont en partie des touristes, sont attendues pour ces fêtes ! Du délire !
Je ne vous dis pas les interminables processions en « rues de la soif » de gens de toutes générations accroupis et se dandidant les uns derrière les autres avec sur la tête un verre empli d’eau où flotte en équilibre précaire une bougie allumée, « viandes saoûles » chantant à tue-tête tous en chœur cette « marseillaise » basco landaise, un air de corrida hyper connu et repris mille fois durant les cinq jours de la fête ! Du délire !
« Bayonne mon ennemour » t’es pas mon paradis !
Tes « casques de la soif », tes foulards de festayres, tes matadores, ta bidoche de taureau à la plancha, tes bistrots dansants, animés par des formations musicales aussi diverses que plurielles, dont les rythmes et les sons évoquent des battements de cœur de pieuvre… Je m’en tamponne le haricot !
Et… « je ne m’en porte pas plus mal... »
Bayonne ? Je n’y suis point revenu depuis février 2017 ! N’ayant guère la « culture » de cette ville et de ses habitants…
Et encore moins de ses grandes fêtes d’été de fin juillet à début août…
Fêtes qui ne sont plus gratuites puisque pour entrer dans l’espace festif bayonnais, il faut se munir d’un bracelet tarifé 10 euros.
Un million de personnes dont en partie des touristes, sont attendues pour ces fêtes ! Du délire !
Je ne vous dis pas les interminables processions en « rues de la soif » de gens de toutes générations accroupis et se dandidant les uns derrière les autres avec sur la tête un verre empli d’eau où flotte en équilibre précaire une bougie allumée, « viandes saoûles » chantant à tue-tête tous en chœur cette « marseillaise » basco landaise, un air de corrida hyper connu et repris mille fois durant les cinq jours de la fête ! Du délire !
« Bayonne mon ennemour » t’es pas mon paradis !
Tes « casques de la soif », tes foulards de festayres, tes matadores, ta bidoche de taureau à la plancha, tes bistrots dansants, animés par des formations musicales aussi diverses que plurielles, dont les rythmes et les sons évoquent des battements de cœur de pieuvre… Je m’en tamponne le haricot !
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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