Dépeupler la planète ?
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Dépeupler la planète ?
… « Il faut dépeupler la planète de six milliards de personnes et de manière paisible »
[ Dennis Meadows, scientifique et professeur émérite de l’université du New Hampshire USA ]
… De manière paisible ? Je ne vois guère comment !
Si, oui, c’est vrai, huit milliards d’humains sur Terre en 2022 et l’activité de ces huit milliards d’humains, exercent une très forte pression sur l’environnement, épuisent les ressources de la planète ( en particulier et surtout, deux milliards de ces humains – et sans doute même trois milliards )… Il n’y a pas d’autre choix que de « faire avec cette réalité »… À moins d’envisager une réduction rapide et importante (de l’ordre de, oui, peut être bien six milliards) Mais… d’une manière non paisible… Cela est-il « souhaitable » ?
Il me paraît certain, à bien réfléchir, qu’une diminution – par exemple de 50 % de l’humanité – trop rapide (on va dire en 5, 10, 20 ans) aurait des conséquences (différentes de celles occasionnées par la pression de l’activité de 8 milliards d’humains sur l’environnement naturel) tout aussi catastrophiques… Ne serait -ce que par une diminition importante d’humains ayant des « savoir faire » en toutes activités et donc, irremplaçables…
La meilleure option à mon avis, serait celle d’une politique de limitation des naissances, notamment sur le continent africain qui est encore le seul continent de la planète à forte croissance démographique, et aussi ailleurs sur toute la planète, afin que durant l’espace de deux ou trois générations, le nombre de décès, globalement, soit supérieur au nombre de naissances, de telle sorte qu’en 2100, nous ne soyons plus que sept milliards sur Terre, et qu’au delà de 2100, la population humaine se stabilise, n’augmente plus…
Mais dans le dernier quart du 20ème siècle, 5 milliards et demi d’humains sur Terre c’était déjà beaucoup… Parce que l’espèce humaine depuis qu’elle a commencé à croître sur cette planète la Terre, s’est développée au détriment des autres espèces (dont d’ailleurs beaucoup d’entre elles de ces espèces actuellement sont en disparition accélérée – insectes, oiseaux, poissons, petits mamifères des forêts, des prés, des champs, des espaces exploités par l’homme )…
[ Dennis Meadows, scientifique et professeur émérite de l’université du New Hampshire USA ]
… De manière paisible ? Je ne vois guère comment !
Si, oui, c’est vrai, huit milliards d’humains sur Terre en 2022 et l’activité de ces huit milliards d’humains, exercent une très forte pression sur l’environnement, épuisent les ressources de la planète ( en particulier et surtout, deux milliards de ces humains – et sans doute même trois milliards )… Il n’y a pas d’autre choix que de « faire avec cette réalité »… À moins d’envisager une réduction rapide et importante (de l’ordre de, oui, peut être bien six milliards) Mais… d’une manière non paisible… Cela est-il « souhaitable » ?
Il me paraît certain, à bien réfléchir, qu’une diminution – par exemple de 50 % de l’humanité – trop rapide (on va dire en 5, 10, 20 ans) aurait des conséquences (différentes de celles occasionnées par la pression de l’activité de 8 milliards d’humains sur l’environnement naturel) tout aussi catastrophiques… Ne serait -ce que par une diminition importante d’humains ayant des « savoir faire » en toutes activités et donc, irremplaçables…
La meilleure option à mon avis, serait celle d’une politique de limitation des naissances, notamment sur le continent africain qui est encore le seul continent de la planète à forte croissance démographique, et aussi ailleurs sur toute la planète, afin que durant l’espace de deux ou trois générations, le nombre de décès, globalement, soit supérieur au nombre de naissances, de telle sorte qu’en 2100, nous ne soyons plus que sept milliards sur Terre, et qu’au delà de 2100, la population humaine se stabilise, n’augmente plus…
Mais dans le dernier quart du 20ème siècle, 5 milliards et demi d’humains sur Terre c’était déjà beaucoup… Parce que l’espèce humaine depuis qu’elle a commencé à croître sur cette planète la Terre, s’est développée au détriment des autres espèces (dont d’ailleurs beaucoup d’entre elles de ces espèces actuellement sont en disparition accélérée – insectes, oiseaux, poissons, petits mamifères des forêts, des prés, des champs, des espaces exploités par l’homme )…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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