Intelligence, sentiments, émotions
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Intelligence, sentiments, émotions
… Les avancées technologiques, les acquisitions de connaissances notamment dans les domaines des sciences de la vie et de la nature, des lois de la physique, les inventions, les travaux et les œuvres accomplies… Tout cela a beaucoup contribué au développement de l’intelligence humaine…
L’intelligence humaine d’ailleurs, ne cesse de progresser et de se diversifier…
Cependant, tout cela , avancées technologiques et acquisitions de connaissances, demeure sans action sur les sentiments et sur les émotions qui eux, n’ont fait aucun progrès depuis l’origine des civilisations et des premières sociétés humaines…
Sur les questions purement et uniquement scientifiques et techniques dépendant de l’intelligence, de la connaissance des phénomènes naturels, des expérimentations réalisées, des inventions, du travail accompli, des applications et des utilisations dans la vie pratique ; les hommes et les femmes de tous les pays se trouvent d’accord, et d’ailleurs ils œuvrent ensemble, se transmettent leurs acquits, leurs découvertes et leurs expériences – dans la mesure précisons le, où ils n’entrent pas en concurrence les uns les autres, et où ils n’œuvrent pas dans un dessein de domination car dans ce cas ils œuvrent en formant des alliances opportunistes en fonction d’intérêts particuliers…
En revanche sur les questions de religion, de politique, de vision de la société ; ce sont les impressions personnelles, ce sont les émotions, c’est ce qui est ressenti dans la vie que l’on vit et dans l’environnement en lequel on se trouve, qui se substitue à l’expérience, à la connaissance scientifique, ne rendant alors la compréhension possible qu’entre personnes ayant des sentiments identiques ou compatibles ensemble… Ce n’est plus la « vérité des choses » qui détermine et crée l’entente, mais c’est « l’identité des sentiments provoqués par ces choses » qui fait l’entente ; entente qui d’ailleurs est toujours fragile, aléatoire et ne s’inscrit pas dans la durée…
Les divergences lorsqu’elles ne dépendent que de l’intelligence, et qu’elles sont purement intellectuelles, se supportent, aussi importantes qu’elles sont ; et c’est alors la raison la plus faible qui s’incline en face de la raison la plus forte (faiblesse d’un côté et force de l’autre côté, qui ne sont en fait que des différences de capacité ou de potentiel selon le principe de l’inégalité naturelle qui existe et qui est une réalité chez tous les êtres vivants)…
Au contraire, les divergences qui ne dépendent pas de l’intelligence (ou n’en dépendent qu’en partie) mais dépendent des sentiments et des émotions, ne se tolèrent pas, s’opposent dans une violence qui, d’autant plus exercée par les uns, fait céder les autres – ou les éliminent…
Les sentiments et les émotions sont contagieux, mais pas l’intelligence.
L’intelligence humaine d’ailleurs, ne cesse de progresser et de se diversifier…
Cependant, tout cela , avancées technologiques et acquisitions de connaissances, demeure sans action sur les sentiments et sur les émotions qui eux, n’ont fait aucun progrès depuis l’origine des civilisations et des premières sociétés humaines…
Sur les questions purement et uniquement scientifiques et techniques dépendant de l’intelligence, de la connaissance des phénomènes naturels, des expérimentations réalisées, des inventions, du travail accompli, des applications et des utilisations dans la vie pratique ; les hommes et les femmes de tous les pays se trouvent d’accord, et d’ailleurs ils œuvrent ensemble, se transmettent leurs acquits, leurs découvertes et leurs expériences – dans la mesure précisons le, où ils n’entrent pas en concurrence les uns les autres, et où ils n’œuvrent pas dans un dessein de domination car dans ce cas ils œuvrent en formant des alliances opportunistes en fonction d’intérêts particuliers…
En revanche sur les questions de religion, de politique, de vision de la société ; ce sont les impressions personnelles, ce sont les émotions, c’est ce qui est ressenti dans la vie que l’on vit et dans l’environnement en lequel on se trouve, qui se substitue à l’expérience, à la connaissance scientifique, ne rendant alors la compréhension possible qu’entre personnes ayant des sentiments identiques ou compatibles ensemble… Ce n’est plus la « vérité des choses » qui détermine et crée l’entente, mais c’est « l’identité des sentiments provoqués par ces choses » qui fait l’entente ; entente qui d’ailleurs est toujours fragile, aléatoire et ne s’inscrit pas dans la durée…
Les divergences lorsqu’elles ne dépendent que de l’intelligence, et qu’elles sont purement intellectuelles, se supportent, aussi importantes qu’elles sont ; et c’est alors la raison la plus faible qui s’incline en face de la raison la plus forte (faiblesse d’un côté et force de l’autre côté, qui ne sont en fait que des différences de capacité ou de potentiel selon le principe de l’inégalité naturelle qui existe et qui est une réalité chez tous les êtres vivants)…
Au contraire, les divergences qui ne dépendent pas de l’intelligence (ou n’en dépendent qu’en partie) mais dépendent des sentiments et des émotions, ne se tolèrent pas, s’opposent dans une violence qui, d’autant plus exercée par les uns, fait céder les autres – ou les éliminent…
Les sentiments et les émotions sont contagieux, mais pas l’intelligence.
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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