Accueil et hébergement de réfugiés
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Accueil et hébergement de réfugiés
… Quelques témoignages dont j’ai eu connaissance, au sujet de l’accueil et de l’hébergement de réfugiés Ukrainiens, m’incitent à une réflexion relative à ce qu’implique dans la vie au quotidien, le fait d’héberger chez soi, par exemple 4 personnes : une femme d’environ 35 ans avec ses deux enfants l’un 6 ans, l’autre 11 ans ; et la mère de cette femme, âgée elle, de 70 ans…
Un « cas de figure » pour ainsi dire, tout à fait possible et qui doit être assez fréquent, puisque les réfugiés Ukrainiens sont en général et en très grande majorité, des femmes et des enfants ; en effet les hommes étant demeurés au pays pour combattre, intégrant l’armée Ukrainienne…
Déjà, pour accueillir 4 personnes, il faut avoir de la place dans sa maison, au moins une pièce aménageable dans laquelle on peut installer 4 lits, quelques chaises, et de quoi ranger les effets personnels (vêtements et objets) des uns et des autres.
Ensuite, et cela tous les jours, matin, midi et soir, il y a les repas, la nourriture à préparer, et donc, une quantité assez importante de produits alimentaires à acheter… Donc de la dépense d’une part, et du travail d’autre part… En supposant que les accueillants et que les hébergés, tous ensemble, participent aux tâches quotidiennes… En ce qui concerne cependant l’achat des denrées, des produits alimentaires, l’on imagine mal les hébergés, partis de chez eux en Ukraine avec tout juste des sacs de voyage, financièrement pourvus (par exemple de quelques centaines d’euro, d’une carte de paiement)…
Ensuite, encore, il y a forcément le problème (d’une manière ou d’une autre posé) de la proximité et de ce qu’implique, dans la relation, au quotidien, surtout au bout de 2 mois, dans la perspective d’une durée longue, le fait de vivre en commun à plusieurs, par exemple 6 personnes dans une même maison… La communication, l’échange : les accueillants ne connaissant pas un seul mot d’Ukrainien ou de Russe (et en plus « ça s’écrit dans un alphabet différent, le cyrillique)…
Nécessairement pour accueillir des réfugiés (Ukrainiens ou autres ) dans les meilleures conditions possibles, la bonne volonté seule des accueillants ne suffit pas : il faut en plus des aides financières (de l’État, de la collectivité territoriale, des Associations, etc.) et aussi, des gens qui aident, pour les tâches au quotidien…
Un « cas de figure » pour ainsi dire, tout à fait possible et qui doit être assez fréquent, puisque les réfugiés Ukrainiens sont en général et en très grande majorité, des femmes et des enfants ; en effet les hommes étant demeurés au pays pour combattre, intégrant l’armée Ukrainienne…
Déjà, pour accueillir 4 personnes, il faut avoir de la place dans sa maison, au moins une pièce aménageable dans laquelle on peut installer 4 lits, quelques chaises, et de quoi ranger les effets personnels (vêtements et objets) des uns et des autres.
Ensuite, et cela tous les jours, matin, midi et soir, il y a les repas, la nourriture à préparer, et donc, une quantité assez importante de produits alimentaires à acheter… Donc de la dépense d’une part, et du travail d’autre part… En supposant que les accueillants et que les hébergés, tous ensemble, participent aux tâches quotidiennes… En ce qui concerne cependant l’achat des denrées, des produits alimentaires, l’on imagine mal les hébergés, partis de chez eux en Ukraine avec tout juste des sacs de voyage, financièrement pourvus (par exemple de quelques centaines d’euro, d’une carte de paiement)…
Ensuite, encore, il y a forcément le problème (d’une manière ou d’une autre posé) de la proximité et de ce qu’implique, dans la relation, au quotidien, surtout au bout de 2 mois, dans la perspective d’une durée longue, le fait de vivre en commun à plusieurs, par exemple 6 personnes dans une même maison… La communication, l’échange : les accueillants ne connaissant pas un seul mot d’Ukrainien ou de Russe (et en plus « ça s’écrit dans un alphabet différent, le cyrillique)…
Nécessairement pour accueillir des réfugiés (Ukrainiens ou autres ) dans les meilleures conditions possibles, la bonne volonté seule des accueillants ne suffit pas : il faut en plus des aides financières (de l’État, de la collectivité territoriale, des Associations, etc.) et aussi, des gens qui aident, pour les tâches au quotidien…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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