Aides sociales, RSA, chômage
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Aides sociales, RSA, chômage
… À propos du RSA et des aides sociales qui, selon certains, devraient être conditionnées à une recherche effective d’emploi ou même à une obligation à accepter un emploi, il y a une autre réalité que celle des personnes qui, délibérément, refusent de travailler et préfèrent vivre de ces ressources accordées par l’état…
Si l’on ne peut en effet, nier cette réalité là, il en est une autre qui elle, exerce une pression bien supérieure à celle du refus délibéré…
C’est celle liée au fait que la plupart des emplois proposés ou offerts, se situent généralement dans des zones urbaines et péri urbaines de dix, vingt mille habitants au moins et presque jamais ou assez rarement dans et autour de bourgades de deux, trois mille habitants, en France…
Le « tissu résidentiel » en terme d’habitants en France, est sur l’ensemble du territoire Français, celui d’un agglomérat dispersé de zones de dix, vingt mille habitants, séparées en général par des distances de 50 km environ en moyenne.
De telle sorte que beaucoup de gens en situation de chômage et percevant RSA et aides sociales, ne vont pas chaque jour effectuer 30 ou 40 km aller et autant retour en voiture pour aller travailler, surtout avec le prix des carburants qui augmente…
Et si de surcroît l’emploi proposé, à 30 km du domicile, est un emploi à temps partiel, raison de plus d’un refus.
« Le jeu vaut la chandelle », en somme, seulement si l’emploi proposé est à temps complet et si en même temps il est rémunéré au moins une fois et demi de plus que des revenus d’assistance… (Encore que, avec l’essence à plus de 2 euro le litre)…
Ces personnes au chômage en zones rurales peu urbanisées et n’offrant guère d’emplois à proximité, sont très nombreuses en France, si l’on fait le compte de toutes les bourgades de moins de 3000 habitants réparties sur le territoire Français… Il n’y a qu’à voir le nombre et l’étendue des maisons individuelles en lotissement un peu partout dans le paysage autour de soi, hors grandes et très grandes agglomérations… Des maisons où résident non seulement des personnes âgées (des retraités) mais souvent aussi, des personnes de 40/50 ans ayant un fils, une fille, jeunes, au chômage vivant avec elles… Ou même des couples au chômage avec enfants dont la mensualité de remboursement du prêt de la maison se trouve en grande partie compensée par des allocations de logement…
Alors pour ces personnes là au chômage, l’on comprend bien que faire chaque jour 30 ou 40 km aller et autant retour pour aller travailler, à 2 euros le litre d’essence maintenant, cela ne soit guère attirant !
Si l’on ne peut en effet, nier cette réalité là, il en est une autre qui elle, exerce une pression bien supérieure à celle du refus délibéré…
C’est celle liée au fait que la plupart des emplois proposés ou offerts, se situent généralement dans des zones urbaines et péri urbaines de dix, vingt mille habitants au moins et presque jamais ou assez rarement dans et autour de bourgades de deux, trois mille habitants, en France…
Le « tissu résidentiel » en terme d’habitants en France, est sur l’ensemble du territoire Français, celui d’un agglomérat dispersé de zones de dix, vingt mille habitants, séparées en général par des distances de 50 km environ en moyenne.
De telle sorte que beaucoup de gens en situation de chômage et percevant RSA et aides sociales, ne vont pas chaque jour effectuer 30 ou 40 km aller et autant retour en voiture pour aller travailler, surtout avec le prix des carburants qui augmente…
Et si de surcroît l’emploi proposé, à 30 km du domicile, est un emploi à temps partiel, raison de plus d’un refus.
« Le jeu vaut la chandelle », en somme, seulement si l’emploi proposé est à temps complet et si en même temps il est rémunéré au moins une fois et demi de plus que des revenus d’assistance… (Encore que, avec l’essence à plus de 2 euro le litre)…
Ces personnes au chômage en zones rurales peu urbanisées et n’offrant guère d’emplois à proximité, sont très nombreuses en France, si l’on fait le compte de toutes les bourgades de moins de 3000 habitants réparties sur le territoire Français… Il n’y a qu’à voir le nombre et l’étendue des maisons individuelles en lotissement un peu partout dans le paysage autour de soi, hors grandes et très grandes agglomérations… Des maisons où résident non seulement des personnes âgées (des retraités) mais souvent aussi, des personnes de 40/50 ans ayant un fils, une fille, jeunes, au chômage vivant avec elles… Ou même des couples au chômage avec enfants dont la mensualité de remboursement du prêt de la maison se trouve en grande partie compensée par des allocations de logement…
Alors pour ces personnes là au chômage, l’on comprend bien que faire chaque jour 30 ou 40 km aller et autant retour pour aller travailler, à 2 euros le litre d’essence maintenant, cela ne soit guère attirant !
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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