Les assiégés de Marioupol

… Pour les assiégés de Marioupol, qui risquent de mourir de faim, l’une des « solutions » pour se procurer de la « nourriture » serait de récupérer des soldats russes morts ou même encore vivants gravement blessés, et de les faire, découpés, rôtir sur des braseros… Un corps de russe de 70/80 kilos en effet, c’est de la « nourriture » pour au moins une vingtaine de personnes…
Encore faudrait- il vu l’importance de la population assiégée et affamée, à Marioupol, que les combattants et résistants Ukrainiens parviennent à tuer le plus de soldats russes possible…
L’on dit que, dans cette guerre, les pertes russes sont de l’ordre, depuis le 24 février, d’environ 4000, peut-être 5000 combattants assaillants ayant perdu la vie (qu’ils aillent en enfer, ces salauds, ainsi que leurs mères et leurs femmes qui en dépit de la perte de leurs fils et époux, bénissent encore l’Ogre du Kremlin !)…
De toute manière « pour dire les choses crûment et dans le réalisme le plus « pur » : la guerre (n’importe quelle guerre) c’est sale, atroce, cruel… Et les lois qui sont censées «réglementer » (interdire ce qui est considéré comme barbare) sont souvent bafouées, contournées – en général surtout par des assaillants envahisseurs et agressifs comme c’est le cas de l’armée russe ayant pour chef Putin’ ce dictateur de la pire espèce égalé par Bachar Al Assad… Et par des chefs Djihadistes de l’Islam radical…
Alors, barbarie pour barbarie, pourquoi pas, du « cannibalisme justifié » ! Qu’ils soient bouffés les morts russes tombés en embuscade dans les rues de Marioupol !
La philosophie, l’éthique, la morale, ça, tout ça, c’est pour après, pour après l’élimination des salauds… Horrifiés que l’on est, après le carnage, après les tueries, l’on peut alors « penser différemment » et « construire une société plus humaine »… Mais durant la guerre et la cruauté, la barbarie de la guerre, il n’y a plus que « œil pour œil dent pour dent » - à titre « provisoire » (c’est à dire non destiné à durer)…
En tant que « passage obligé » la violence (qui est condamnable et ne constitue jamais LA réponse) est « provisoirement, tragiquement, nécessaire »…