Le meilleur de chacun en son unicité
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Le meilleur de chacun en son unicité
… C’est assurément le meilleur dans ce qu’il a d’unique, en tout être humain, et qui n’est donc jamais banal ou ordinaire… Que l’on devrait retenir en nous, considérer, avoir présent à l’esprit, dans la relation que l’on a avec l’un ou l’autre de ses proches, de ses amis, de ses connaissances…
Certes, dans la relation que l’on a avec des personnes inconnues de nous, mal ou superficiellement connues, l’on ne sait ce meilleur qu’il y a en chacune de ces personnes inconnues ou mal connues… Mais le fait de savoir ou de considérer que ce meilleur existe, incite – ou devrait inciter – à réflexion, notamment lorsque c’est ce qu’il y a de mauvais, d’inacceptable en l’autre, inconnu ou mal connu, qui apparaît dans une situation particulière…
La perception du meilleur de l’autre, que cet autre soit un proche, un ami, une de nos connaissances ; en quelque sorte, réduit l’amertume, réduit le ressentiment, réduit la colère « latente » que l’on peut avoir lorsque c’est le plus mauvais, le plus difficilement acceptable, le « moins bon », qui apparaît et nous déconcerte, nous déçoit, nous met en colère, de l’autre…
Si le meilleur est toujours singulier, « unique en son genre » et exceptionnel, n’appartenant qu’à la personne l’ayant en elle ; le « moins bon », ou le mauvais quant à lui, est ordinaire, banal, commun à tous, se retrouve d’une manière ou d’une autre en chacun de nous…
Certes, dans la relation que l’on a avec des personnes inconnues de nous, mal ou superficiellement connues, l’on ne sait ce meilleur qu’il y a en chacune de ces personnes inconnues ou mal connues… Mais le fait de savoir ou de considérer que ce meilleur existe, incite – ou devrait inciter – à réflexion, notamment lorsque c’est ce qu’il y a de mauvais, d’inacceptable en l’autre, inconnu ou mal connu, qui apparaît dans une situation particulière…
La perception du meilleur de l’autre, que cet autre soit un proche, un ami, une de nos connaissances ; en quelque sorte, réduit l’amertume, réduit le ressentiment, réduit la colère « latente » que l’on peut avoir lorsque c’est le plus mauvais, le plus difficilement acceptable, le « moins bon », qui apparaît et nous déconcerte, nous déçoit, nous met en colère, de l’autre…
Si le meilleur est toujours singulier, « unique en son genre » et exceptionnel, n’appartenant qu’à la personne l’ayant en elle ; le « moins bon », ou le mauvais quant à lui, est ordinaire, banal, commun à tous, se retrouve d’une manière ou d’une autre en chacun de nous…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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