"Iel", un virus !
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"Iel", un virus !
… Il m’est bien difficile voire impossible d’arriver à comprendre et à admettre qu’un dictionnaire tel que le Robert, tout de même une référence pour la langue française (vocabulaire, grammaire)… Ait pu introduire et officialiser le pronom “iel” (pour il, elle) dans ses pages de la lettre I…
Il y a bien là – à mon sens- une aberration.
Les autres dictionnaires, le Larousse par exemple, vont – ils suivre et introduire “iel” à leur tour?
Ce pronom “iel” est un virus de déconstruction de la langue française, qui, aujourd’hui introduit, va se développer, se multiplier en différentes formes, appeler d’autres introductions de termes, de substantifs (noms communs), d’adjectifs, de verbes que la grammaire française devra absorber – on se demande comment et selon quelles règles …
Ainsi avec “iel” l’on va lire “Iels sont fatigués” ou “Iels sont fatiguées”, ce qui, pour “iels sont fatigués” comme pour “iels sont fatiguées” est grammaticalement incorrect (de même, avec iel au singulier, “iel est fatigué, iel est fatiguée”…
Si, avec “iel” on applique la règle grammaticale il faut écrire : iel est fatigué-e , iels sont fatigué-e-s … Ce qui introduit “de force” l’écriture dite inclusive (une autre aberration)…
À moins d’écrire : iel est fatigué(e), iels sont fatigué(es)…
Soit dit en passant, l’écriture inclusive dans le but de “dégenrer”( mettre à égalité le masculin et le féminin sans privilégier l’un ou l’autre) ne rend en aucune façon la femme l’égale de l’homme…
Au lieu de “bricoler avec la grammaire” en introduisant “iel” et l’écriture inclusive, l’on ferait mieux, mille fois mieux, de commencer par égaliser les salaires entre les hommes et les femmes dans les activités professionnelles, les entreprises, partout où des hommes et des femmes travaillent ensemble…
Je serais curieux de savoir, toujours soit dit en passant, comment les musulmans établis en France et parlant/écrivant Français, perçoivent ce pronom “iel” et ce qu’ils pensent de l’écriture inclusive…
Dans l’espace géographique qui est celui de la France , espace situé à l’ouest du continent Eurasien (Europe Asie) avec pour rivage la cote Atlantique depuis la Manche jusqu’au golfe de Gascogne, et de 42 degrés de latitude nord Perpignan à 51 degrés de latitude nord Dunkerque ; à la fin du 21ème siècle quel “Français” parlera et écrira – t – on ? (Si le Français existe encore et avec quels apports aussi nombreux que divers, dont en particulier des “anglicismes”, des termes, des locutions venus du Chinois (du Mandarin), de l’Arabe ? …
… On le voit bien dans l’évolution du monde et de la société tous environnements et cultures confondus) depuis environ une vingtaine d’années et dans une accélération sans précédent dans l’Histoire humaine ; nous sommes dans un changement radical de “paradigme”, à savoir (pour définir et expliquer ce qu’est un paradigme) : une représentation du monde, une manière de voir les choses, selon un modèle reposant sur des bases définies – mais définies en fait, par les Décideurs et les Dominants auxquels s’est ralliée par adhésion, par intérêt, par démission, par passivité, ou encore par intoxication, par conditionnement ; une majorité de gens dans le monde…
Et ce “iel” (ce virus de déconstruction – de la langue française mais aussi en même temps, de la société- ) s’inscrit dans le “paradigme”…
Certes, le “paradigme” existait déjà depuis les premières grandes civilisations post néolithiques (avec au “sommet” de la “pyramide” les Décideurs, les Dominants et les Possédants (jadis de la terre)… Mais l’évolution se faisait à un rythme bien plus “solaire” (ou naturel), que de nos jours dans les immenses, violents et rapides bouleversements qui s’opèrent…
Il y a bien là – à mon sens- une aberration.
Les autres dictionnaires, le Larousse par exemple, vont – ils suivre et introduire “iel” à leur tour?
Ce pronom “iel” est un virus de déconstruction de la langue française, qui, aujourd’hui introduit, va se développer, se multiplier en différentes formes, appeler d’autres introductions de termes, de substantifs (noms communs), d’adjectifs, de verbes que la grammaire française devra absorber – on se demande comment et selon quelles règles …
Ainsi avec “iel” l’on va lire “Iels sont fatigués” ou “Iels sont fatiguées”, ce qui, pour “iels sont fatigués” comme pour “iels sont fatiguées” est grammaticalement incorrect (de même, avec iel au singulier, “iel est fatigué, iel est fatiguée”…
Si, avec “iel” on applique la règle grammaticale il faut écrire : iel est fatigué-e , iels sont fatigué-e-s … Ce qui introduit “de force” l’écriture dite inclusive (une autre aberration)…
À moins d’écrire : iel est fatigué(e), iels sont fatigué(es)…
Soit dit en passant, l’écriture inclusive dans le but de “dégenrer”( mettre à égalité le masculin et le féminin sans privilégier l’un ou l’autre) ne rend en aucune façon la femme l’égale de l’homme…
Au lieu de “bricoler avec la grammaire” en introduisant “iel” et l’écriture inclusive, l’on ferait mieux, mille fois mieux, de commencer par égaliser les salaires entre les hommes et les femmes dans les activités professionnelles, les entreprises, partout où des hommes et des femmes travaillent ensemble…
Je serais curieux de savoir, toujours soit dit en passant, comment les musulmans établis en France et parlant/écrivant Français, perçoivent ce pronom “iel” et ce qu’ils pensent de l’écriture inclusive…
Dans l’espace géographique qui est celui de la France , espace situé à l’ouest du continent Eurasien (Europe Asie) avec pour rivage la cote Atlantique depuis la Manche jusqu’au golfe de Gascogne, et de 42 degrés de latitude nord Perpignan à 51 degrés de latitude nord Dunkerque ; à la fin du 21ème siècle quel “Français” parlera et écrira – t – on ? (Si le Français existe encore et avec quels apports aussi nombreux que divers, dont en particulier des “anglicismes”, des termes, des locutions venus du Chinois (du Mandarin), de l’Arabe ? …
… On le voit bien dans l’évolution du monde et de la société tous environnements et cultures confondus) depuis environ une vingtaine d’années et dans une accélération sans précédent dans l’Histoire humaine ; nous sommes dans un changement radical de “paradigme”, à savoir (pour définir et expliquer ce qu’est un paradigme) : une représentation du monde, une manière de voir les choses, selon un modèle reposant sur des bases définies – mais définies en fait, par les Décideurs et les Dominants auxquels s’est ralliée par adhésion, par intérêt, par démission, par passivité, ou encore par intoxication, par conditionnement ; une majorité de gens dans le monde…
Et ce “iel” (ce virus de déconstruction – de la langue française mais aussi en même temps, de la société- ) s’inscrit dans le “paradigme”…
Certes, le “paradigme” existait déjà depuis les premières grandes civilisations post néolithiques (avec au “sommet” de la “pyramide” les Décideurs, les Dominants et les Possédants (jadis de la terre)… Mais l’évolution se faisait à un rythme bien plus “solaire” (ou naturel), que de nos jours dans les immenses, violents et rapides bouleversements qui s’opèrent…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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