Réflexion sur le langage écrit et parlé, sur les règles, sur les apports et sur les singularités
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Réflexion sur le langage écrit et parlé, sur les règles, sur les apports et sur les singularités
… Les grammairiens et les académiciens, ainsi – parfois – que les tenants d’une littérature aux règles immuables et incontournables sur le plan de la logique, de la syntaxe, de la forme et du sens – en somme de la beauté, de la pureté, de la richesse, de la diversité et en même temps de l’unicité de la langue écrite (et parlée)…
Non seulement les grammairiens et les académiciens mais aussi les auteurs, les écrivains et les poètes attachés “viscéralement” et inconditionnellement à l’authenticité, à la pureté de la langue – française ou autre… Tout en s’affirmant les garants de la pureté et de ce qu’il y a d’intemporel, d’immuable, de la langue – et qui selon eux, “n’est pas négociable”…
Contribuent – parfois- à une ou à des évolution(s) de la langue… Soit par des apports, soit par de “nouvelles” formes (ou formulations)…
Le “problème” que pose l’apport ou la “nouvelle” forme (ou formulation) dans le langage écrit (et parlé) est lié au rapport qui s’établit entre la règle, la logique, le sens, la perception et l’acceptation par le lecteur ou par l’entendant… D’une part ; et ce qu’apportent l’élément, le terme, la formulation, nouveaux et introduits dans le langage… D’autre part.
Tout est dans ce rapport…
Ce qui n’entre pas dans le rapport (qui, dans ce cas “déroge”, dérange, en s’écartant du sens, de la logique, en n’étant que de l’effet recherché, ou même en étant l’expression d’une singularité inhérente à la personnalité même de l’exprimant)… Ne peut, en aucun cas, être comme “officialisé” – en somme, entrer dans la normalité, dans la règle, dans le Dictionnaire… Mais doit demeurer indépendant (pouvant certes, être reconnu mais seulement reconnu en tant que singularité)…
Si je hurle de rage à “iel” et à l’écriture inclusive ; si j’accuse (dans la colère) les grammairiens et les académiciens progressistes réformistes d’être des assassins de la langue française en se “fondant dans le moule” des modes, des engouements, de la modernité dans ses évolutions et en instituant et en officialisant de nouvelles règles…
Je hurlerais autant de rage si, par exemple, les mêmes “décideurs” et arbitres et gardiens” devaient instituer et officialiser mes propres expressions personnelles et langagières, en somme la grammaire et le vocabulaire du personnage que je suis…
La singularité peut être reconnue… Elle doit même l’être… Mais elle ne peut être “officialisée” ou devenir la règle, ou une règle…
Non seulement les grammairiens et les académiciens mais aussi les auteurs, les écrivains et les poètes attachés “viscéralement” et inconditionnellement à l’authenticité, à la pureté de la langue – française ou autre… Tout en s’affirmant les garants de la pureté et de ce qu’il y a d’intemporel, d’immuable, de la langue – et qui selon eux, “n’est pas négociable”…
Contribuent – parfois- à une ou à des évolution(s) de la langue… Soit par des apports, soit par de “nouvelles” formes (ou formulations)…
Le “problème” que pose l’apport ou la “nouvelle” forme (ou formulation) dans le langage écrit (et parlé) est lié au rapport qui s’établit entre la règle, la logique, le sens, la perception et l’acceptation par le lecteur ou par l’entendant… D’une part ; et ce qu’apportent l’élément, le terme, la formulation, nouveaux et introduits dans le langage… D’autre part.
Tout est dans ce rapport…
Ce qui n’entre pas dans le rapport (qui, dans ce cas “déroge”, dérange, en s’écartant du sens, de la logique, en n’étant que de l’effet recherché, ou même en étant l’expression d’une singularité inhérente à la personnalité même de l’exprimant)… Ne peut, en aucun cas, être comme “officialisé” – en somme, entrer dans la normalité, dans la règle, dans le Dictionnaire… Mais doit demeurer indépendant (pouvant certes, être reconnu mais seulement reconnu en tant que singularité)…
Si je hurle de rage à “iel” et à l’écriture inclusive ; si j’accuse (dans la colère) les grammairiens et les académiciens progressistes réformistes d’être des assassins de la langue française en se “fondant dans le moule” des modes, des engouements, de la modernité dans ses évolutions et en instituant et en officialisant de nouvelles règles…
Je hurlerais autant de rage si, par exemple, les mêmes “décideurs” et arbitres et gardiens” devaient instituer et officialiser mes propres expressions personnelles et langagières, en somme la grammaire et le vocabulaire du personnage que je suis…
La singularité peut être reconnue… Elle doit même l’être… Mais elle ne peut être “officialisée” ou devenir la règle, ou une règle…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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