La normalisation de la société
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La normalisation de la société
… La normalisation, le formatage, la standardisation, le contrôle de la société (tout cela se rejoint) ne protège pas la démocratie ni les “individus” (individus en tant que personnes humaines)… Mais piège les individus en les rendant dépendants et soumis, de telle manière qu’ils ne puissent plus se libérer de l’emprise des dominants, qui nivelle, arase tout comme au passage d’un rouleau compresseur…
L’emprise depuis quelques années, c’est, en plus de celle des dominants et des décideurs – qui avait il faut dire, toujours existé – celle des “géants” du Web, du numérique, de l’informatique, de la domotique et des nano technologies ( Google, Microsoft, Apple, Amazon)… Et qui s’ajoute désormais à l’emprise des autres dominants…
La notion ou le concept d’individuation (processus de différentiation des individus selon les caractéristiques qui leur sont propres), ne doit pas être confondu comme c’est le cas dans les sociétés actuelles de par le monde, avec l’individualisme.
Car, confondue avec l’individualisme, l’individuation ne peut plus être réinvestie par les individus (individus en tant que personnes humaines)…
Le seul moyen ou la seule voie possible pour un réinvestissement des individus ( de chaque individu sur cette planète en tant que personne humaine), pour protéger la démocratie, ne peut être que celui d’une liberté rendue accessible à chacun, mais d’une liberté cependant – et c’est cela l’essentiel – associée, étroitement et indissolublement liée à la responsabilité (de chacun)...
Dans le monde actuel, celui de la “double dominance” (celle qui existe depuis toujours et celle qui est nouvelle – des Géants du numérique ) , la liberté ne nous sera ni rendue ni donnée : nous devrons nous l’approprier – par la force (cela semble nécessaire) – mais… “par quelle force” ? Autrement dit, est-ce par la violence ?
La puissance du “rouleau compresseur” est devenue telle, que des révolutions comme celles que l’on a connues dans l’Histoire, sont aujourd’hui quasiment impossibles… Du fait déjà des dépendances multiples et extrêmement fortes qui sont les nôtres dans le monde actuel (dépendance énergétique, dépendance numérique, dépendance dans la consommation)…
La force (d’opposition) réside, ne peut résider et se révéler efficace (mais pas efficace à court terme), que dans le comportement de chacun, dans les choix qui peuvent encore être faits (il n’en reste plus beaucoup mais il y en a)… Comportements qui, bien sûr, ne vont pas dans le sens de ce que souhaitent les dominants qui, rappelons le, sont tout de même eux aussi, dépendants (dépendants de notre “bon vouloir” ou de nos acceptations)…
Donc, les comportements de chacun et, autant que possible, la conjonction ou la réunion des comportements, ainsi que leur visibilité…
L’emprise depuis quelques années, c’est, en plus de celle des dominants et des décideurs – qui avait il faut dire, toujours existé – celle des “géants” du Web, du numérique, de l’informatique, de la domotique et des nano technologies ( Google, Microsoft, Apple, Amazon)… Et qui s’ajoute désormais à l’emprise des autres dominants…
La notion ou le concept d’individuation (processus de différentiation des individus selon les caractéristiques qui leur sont propres), ne doit pas être confondu comme c’est le cas dans les sociétés actuelles de par le monde, avec l’individualisme.
Car, confondue avec l’individualisme, l’individuation ne peut plus être réinvestie par les individus (individus en tant que personnes humaines)…
Le seul moyen ou la seule voie possible pour un réinvestissement des individus ( de chaque individu sur cette planète en tant que personne humaine), pour protéger la démocratie, ne peut être que celui d’une liberté rendue accessible à chacun, mais d’une liberté cependant – et c’est cela l’essentiel – associée, étroitement et indissolublement liée à la responsabilité (de chacun)...
Dans le monde actuel, celui de la “double dominance” (celle qui existe depuis toujours et celle qui est nouvelle – des Géants du numérique ) , la liberté ne nous sera ni rendue ni donnée : nous devrons nous l’approprier – par la force (cela semble nécessaire) – mais… “par quelle force” ? Autrement dit, est-ce par la violence ?
La puissance du “rouleau compresseur” est devenue telle, que des révolutions comme celles que l’on a connues dans l’Histoire, sont aujourd’hui quasiment impossibles… Du fait déjà des dépendances multiples et extrêmement fortes qui sont les nôtres dans le monde actuel (dépendance énergétique, dépendance numérique, dépendance dans la consommation)…
La force (d’opposition) réside, ne peut résider et se révéler efficace (mais pas efficace à court terme), que dans le comportement de chacun, dans les choix qui peuvent encore être faits (il n’en reste plus beaucoup mais il y en a)… Comportements qui, bien sûr, ne vont pas dans le sens de ce que souhaitent les dominants qui, rappelons le, sont tout de même eux aussi, dépendants (dépendants de notre “bon vouloir” ou de nos acceptations)…
Donc, les comportements de chacun et, autant que possible, la conjonction ou la réunion des comportements, ainsi que leur visibilité…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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