Le consentement, de Vanessa Springora
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Le consentement, de Vanessa Springora
… Dans une relation pédophile entre un adulte et une fillette de 10 ans – ou une “presque jeune fille” de 13 ans ; le consentement (dont il est question dans le livre écrit par Vanessa Springora, et dont il est aussi question selon la loi censée protéger les mineurs des abus sexuels commis par des adultes, mais une loi semblant “admettre” la “relation consentie” en ne faisant pas état d’un âge précis - en dessous de 15 ans, donc, un garçon ou une fille de 10 ans peut être “consentant”?) … Loi “scélérate” à mon sens, puisqu’elle “admet” le consentement d’un enfant , et en ce sens, ne protège aucunement l’enfant ! …
Le consentement me fait penser, dans le cas d’une relation pédophile entre un adulte et une fillette de 10 ans ou une “presque jeune fille” de 13 ans ; à des “sentements de con” exercés par l’adulte…
Ainsi, cela ne serait rien d’autre que cela, le consentement : un sentement de con ! Et, en “extrapolant”, la verge d’un jeune garçon…
En effet, se laisser sentir le con – et se le faire lécher -, pour une fillette de 10 ans ou une pré ado de 13 ans dont le père est absent, ou la mère irresponsable et “nulle” (parfois le père absent et la mère “nulle”)… Cela peut “combler” un défaut d’affection, un “manque”… D’où la relation qui s’établit entre un adulte étranger à la famille, ou proche de la famille qui n’est ni le père ni la mère, et l’enfant ou l’adolescent… Relation incestueuse ou pédophile…
Pour un enfant ou pour un adolescent, ce qui est du domaine du rêve, du fantasme, de l’imaginaire, de l’idéalisation d’un “grand” ou d’un adulte et, lorsque cela arrive, une pulsion, une envie qui vient… Tout cela entrant dans une “intimité secrète et incommunicable”; doit demeurer du rêve et le rester. Aucun adulte, homme ou femme, ne peut, ne doit, en aucun cas, répondre à l’attente – implicite ou explicite – de l’enfant, du pré adolescent…
Car la sexualité de l’adulte est naturellement différente de celle de l’enfant et du pré adolescent. D’ailleurs peut-on parler de “sexualité” pour un enfant ? Ce qui est équivalent à la sexualité, ou y ressemble, chez l’enfant, ne peut pas être défini par le terme même de sexualité…
Toute la différence vient du fait de l’évolution de ce que ressent l’enfant avant de devenir un adulte. Au départ, il y a un environnement familial, de proches, de gens que voit l’enfant tous les jours ; une sorte de courant de sensibilité s’établit entre cet environnement de proximité, et la vie secrète, intime, incommunicable, de l’enfant…
Ensuite, avec l’école, un environnement plus étendu, de copains, d’autres gens, forcément une évolution s’opère ; le rêve, les fantasmes, les envies, les inclinations de sensibilité, entrent dans une dimension élargie, un “report” ou une “transformation” se fait naturellement… dont le résultat c’est celui de la sexualité adulte…
Il faut laisser naturellement cette “transformation”, cette évolution se faire, et donc, surtout ne pas la perturber ( la pédophilie et l’inceste sont des actes perturbateurs à la “transformation” (évolution)…
Les pédophiles sont dans une négation totale de la différence de sexualité entre l’adulte et l’enfant.
Dans le livre de Vanessa Springora, le “G.M” “célèbre écrivain quinquagénaire dans les dérives d’une époque (après mai 1968), dans la complicité et dans la complaisance des milieux littéraires et artistiques aveuglés par le talent et la notoriété, n’est autre que Gabriel Matzneff, né en 1936, et aujourd’hui âgé de 85 ans en 2021, vivant en solitaire, caché derrière de grosses lunettes, et abandonné par presque tous ceux qui l’ont jadis encensé, dans une ville d’Italie du Nord, ses livres ne faisant plus recette, ses éditeurs l’ayant lâché…
Il avait été, après 1981, invité au palais de l’Elysée par François Mitterrand !
Toute l’œuvre littéraire de Gabriel Matzneff, une cinquantaine d’ouvrages, romans, essais; mémoires, est axée sur ses relations sexuelles avec des jeunes de 13 à 16 ans, ainsi qu’avec des enfants de 8 à 12 ans, aux Philippines et dans des pays de “tourisme sexuel”…
Une telle œuvre – non pas au nom de la morale et de l’éthique- ne peut cependant être détruite ou “autodafée”, puisque si c’était le cas, si l’on brûlait les livres de Gabriel Matzneff, ce serait nier que de telles pratiques sexuelles avec des enfants existent. Aussi, le monde, la société, tout un chacun, doit savoir, doit avoir connaissance de l’un ou l’autre de ces ouvrages. Cette terrible réalité ne peut être niée, l’on ne peut pas faire comme si ça n’existait pas!
Les droits d’auteur devraient être captés, saisis entièrement, par l’administration fiscale, par l’état, et reversés pour l’aide aux victimes, en ce qui concerne les œuvres des écrivains pédophiles.
Mais il est proprement scandaleux, révoltant, que ce type, aujourd’hui âgé de 85 ans, soit encore en vie, alors que tant de “belles personnes” ou “gens de bonne volonté” disparaissent avant d’atteindre l’âge de 60 ans…
J’ai imaginé ce “scénario” pour un film de fiction genre horreur épouvante cruauté :
Des commandos anti pédophiles agissant dans une illégalité bénéficiant de complaisance ou de silence sinon d’adhésion tacite, à la recherche de pédophiles notables, connus ou simplement repérés, organisant des rafles, des enlèvements, avec séquestration dans des caves où leur sont infligés “quelques supplices”, entre autres vrillage de crâne avec une perceuse électrique ou même vrillage avec une mèche de 6 ou de 8, du “zizi” ! Ou encore une montée au dixième étage d’un immeuble où l’un d’entre eux habite, un pédo devenu paralytique sur un fauteuil roulant… Les mecs du commando enfoncent la porte de l’appartement, et … “Toi l’assis, lève toi”… Il ne se lève pas le pédo infirme, bien sûr… Alors, deux des personnes du commando se saisissent du fauteuil avec le pédo dedans, ouvrent la fenêtre, et le balancent dans le vide depuis le dixième étage. Le pédo rivé à son fauteuil roulant s’écrase sur le trottoir, la scène est filmée en un document vidéo diffusé sur des réseaux sociaux… Pas de censure, pas de “levée de boucliers” en réaction à cette vidéo !
La barbarie, avant d’être “réactive et vengeresse”, elle est d’abord et essentiellement le fait des barbares que sont les pédos et les violeurs de mômes… Quand elle est “réactive et vengeresse” la barbarie n’est plus de la barbarie (on va dire “éthiquement ou moralement parlant”, qu’elle est quand même de la barbarie, mais il y a une différence “assez nette” à mon sens)…
Que l’on le veuille ou non, un monde “différent, autrement et meilleur”, ça passe par l’étape de la violence, une violence où l’on “ne fait pas dans la dentelle” contre l’injustice, l’ignominie, la prédation… Mais l’étape ne doit être qu’une étape, pas un “nouvel ordre à installer durablement, cependant !
Le consentement me fait penser, dans le cas d’une relation pédophile entre un adulte et une fillette de 10 ans ou une “presque jeune fille” de 13 ans ; à des “sentements de con” exercés par l’adulte…
Ainsi, cela ne serait rien d’autre que cela, le consentement : un sentement de con ! Et, en “extrapolant”, la verge d’un jeune garçon…
En effet, se laisser sentir le con – et se le faire lécher -, pour une fillette de 10 ans ou une pré ado de 13 ans dont le père est absent, ou la mère irresponsable et “nulle” (parfois le père absent et la mère “nulle”)… Cela peut “combler” un défaut d’affection, un “manque”… D’où la relation qui s’établit entre un adulte étranger à la famille, ou proche de la famille qui n’est ni le père ni la mère, et l’enfant ou l’adolescent… Relation incestueuse ou pédophile…
Pour un enfant ou pour un adolescent, ce qui est du domaine du rêve, du fantasme, de l’imaginaire, de l’idéalisation d’un “grand” ou d’un adulte et, lorsque cela arrive, une pulsion, une envie qui vient… Tout cela entrant dans une “intimité secrète et incommunicable”; doit demeurer du rêve et le rester. Aucun adulte, homme ou femme, ne peut, ne doit, en aucun cas, répondre à l’attente – implicite ou explicite – de l’enfant, du pré adolescent…
Car la sexualité de l’adulte est naturellement différente de celle de l’enfant et du pré adolescent. D’ailleurs peut-on parler de “sexualité” pour un enfant ? Ce qui est équivalent à la sexualité, ou y ressemble, chez l’enfant, ne peut pas être défini par le terme même de sexualité…
Toute la différence vient du fait de l’évolution de ce que ressent l’enfant avant de devenir un adulte. Au départ, il y a un environnement familial, de proches, de gens que voit l’enfant tous les jours ; une sorte de courant de sensibilité s’établit entre cet environnement de proximité, et la vie secrète, intime, incommunicable, de l’enfant…
Ensuite, avec l’école, un environnement plus étendu, de copains, d’autres gens, forcément une évolution s’opère ; le rêve, les fantasmes, les envies, les inclinations de sensibilité, entrent dans une dimension élargie, un “report” ou une “transformation” se fait naturellement… dont le résultat c’est celui de la sexualité adulte…
Il faut laisser naturellement cette “transformation”, cette évolution se faire, et donc, surtout ne pas la perturber ( la pédophilie et l’inceste sont des actes perturbateurs à la “transformation” (évolution)…
Les pédophiles sont dans une négation totale de la différence de sexualité entre l’adulte et l’enfant.
Dans le livre de Vanessa Springora, le “G.M” “célèbre écrivain quinquagénaire dans les dérives d’une époque (après mai 1968), dans la complicité et dans la complaisance des milieux littéraires et artistiques aveuglés par le talent et la notoriété, n’est autre que Gabriel Matzneff, né en 1936, et aujourd’hui âgé de 85 ans en 2021, vivant en solitaire, caché derrière de grosses lunettes, et abandonné par presque tous ceux qui l’ont jadis encensé, dans une ville d’Italie du Nord, ses livres ne faisant plus recette, ses éditeurs l’ayant lâché…
Il avait été, après 1981, invité au palais de l’Elysée par François Mitterrand !
Toute l’œuvre littéraire de Gabriel Matzneff, une cinquantaine d’ouvrages, romans, essais; mémoires, est axée sur ses relations sexuelles avec des jeunes de 13 à 16 ans, ainsi qu’avec des enfants de 8 à 12 ans, aux Philippines et dans des pays de “tourisme sexuel”…
Une telle œuvre – non pas au nom de la morale et de l’éthique- ne peut cependant être détruite ou “autodafée”, puisque si c’était le cas, si l’on brûlait les livres de Gabriel Matzneff, ce serait nier que de telles pratiques sexuelles avec des enfants existent. Aussi, le monde, la société, tout un chacun, doit savoir, doit avoir connaissance de l’un ou l’autre de ces ouvrages. Cette terrible réalité ne peut être niée, l’on ne peut pas faire comme si ça n’existait pas!
Les droits d’auteur devraient être captés, saisis entièrement, par l’administration fiscale, par l’état, et reversés pour l’aide aux victimes, en ce qui concerne les œuvres des écrivains pédophiles.
Mais il est proprement scandaleux, révoltant, que ce type, aujourd’hui âgé de 85 ans, soit encore en vie, alors que tant de “belles personnes” ou “gens de bonne volonté” disparaissent avant d’atteindre l’âge de 60 ans…
J’ai imaginé ce “scénario” pour un film de fiction genre horreur épouvante cruauté :
Des commandos anti pédophiles agissant dans une illégalité bénéficiant de complaisance ou de silence sinon d’adhésion tacite, à la recherche de pédophiles notables, connus ou simplement repérés, organisant des rafles, des enlèvements, avec séquestration dans des caves où leur sont infligés “quelques supplices”, entre autres vrillage de crâne avec une perceuse électrique ou même vrillage avec une mèche de 6 ou de 8, du “zizi” ! Ou encore une montée au dixième étage d’un immeuble où l’un d’entre eux habite, un pédo devenu paralytique sur un fauteuil roulant… Les mecs du commando enfoncent la porte de l’appartement, et … “Toi l’assis, lève toi”… Il ne se lève pas le pédo infirme, bien sûr… Alors, deux des personnes du commando se saisissent du fauteuil avec le pédo dedans, ouvrent la fenêtre, et le balancent dans le vide depuis le dixième étage. Le pédo rivé à son fauteuil roulant s’écrase sur le trottoir, la scène est filmée en un document vidéo diffusé sur des réseaux sociaux… Pas de censure, pas de “levée de boucliers” en réaction à cette vidéo !
La barbarie, avant d’être “réactive et vengeresse”, elle est d’abord et essentiellement le fait des barbares que sont les pédos et les violeurs de mômes… Quand elle est “réactive et vengeresse” la barbarie n’est plus de la barbarie (on va dire “éthiquement ou moralement parlant”, qu’elle est quand même de la barbarie, mais il y a une différence “assez nette” à mon sens)…
Que l’on le veuille ou non, un monde “différent, autrement et meilleur”, ça passe par l’étape de la violence, une violence où l’on “ne fait pas dans la dentelle” contre l’injustice, l’ignominie, la prédation… Mais l’étape ne doit être qu’une étape, pas un “nouvel ordre à installer durablement, cependant !
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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