L'individualisme
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L'individualisme
… L’individualisme… Voilà bien un sujet de philosophie qui aurait sa raison d’être pour un BAC !
Ne serait-ce que pour dénoncer tous ces préjugés, idées toutes faites, prises personnelles de position, tous aussi fallacieux les uns que les autres ! Au sujet de cet individualisme et de son corolaire l’égoïsme, que tant d’entre nous “montre du doigt”, stigmatise, avec arguments à l’appui !
Où commence, où s’arrête l’individualisme, comment peut-on le définir… Si toutefois il est possible de le définir ?
Déjà, question de toutes les questions : “se pose-t-on les bonnes questions ?” … Et les réponses possibles, acceptables, discutables pour quelques unes d’entre elles, dans quelle mesure peuvent-elles nous satisfaire ?
Il y a, certes, ce qui est évident : ce qui fait nettement et vraiment du mal, qui nous est asséné, que l’on doit subir sans avoir la possibilité de se défendre – et qui donc, justifie une “morale”(pour empêcher que le mal soit fait)… Encore faut-il, à propos de “morale”, distinguer la morale “de tradition, de religion, de citoyenneté, de civilisation, de société”… De la morale “naturelle” en rapport avec les principes du fonctionnement, de la relation entre les êtres et les choses de l’univers…
Les bonnes questions ? Quels sont ceux et celles d’entre nous, qui se les posent vraiment ? Elles sont souvent perçues “dérangeantes” ces questions…
C’est “tellement plus facile”, plutôt que de s’éterniser à des réflexions, à des interrogations auxquelles l’on ne trouve pas vraiment de réponse, et dont le “discours” auquel on se livre s’apparente à un “pensum scolaire” lorsque ce “discours” est donné en face d’un public – même d’un public “un peu moins indifférent” – C’est “tellement plus facile” de s’appuyer, de se “sécuriser” – de se figer dirais-je – sur des repères bien visibles, sur des “modèles”, des “canevas” – en somme du “prêt à porter”, comme un “pantalon censé être à la mesure de son cul” !
D’où les religions, d’où la morale ! Et, en conséquence, les autoritarismes, les dictats, les principes, les “vases sacrés” ! … Et les préjugés, la domination des apparences, les hypocrisies, tout ce “trou-de-balisme” dont le principe est celui qui, pour prendre cette image, est le même qu’une olive bien huilée enfoncée profondément dans le fondement ! … “ça fait du bien par où ça passe, mais gare dans trois jours la diarrhée ou au contraire la constipation qui va te mettre l’intérieur du ventre en compote ou en mortier” !
Ne serait-ce que pour dénoncer tous ces préjugés, idées toutes faites, prises personnelles de position, tous aussi fallacieux les uns que les autres ! Au sujet de cet individualisme et de son corolaire l’égoïsme, que tant d’entre nous “montre du doigt”, stigmatise, avec arguments à l’appui !
Où commence, où s’arrête l’individualisme, comment peut-on le définir… Si toutefois il est possible de le définir ?
Déjà, question de toutes les questions : “se pose-t-on les bonnes questions ?” … Et les réponses possibles, acceptables, discutables pour quelques unes d’entre elles, dans quelle mesure peuvent-elles nous satisfaire ?
Il y a, certes, ce qui est évident : ce qui fait nettement et vraiment du mal, qui nous est asséné, que l’on doit subir sans avoir la possibilité de se défendre – et qui donc, justifie une “morale”(pour empêcher que le mal soit fait)… Encore faut-il, à propos de “morale”, distinguer la morale “de tradition, de religion, de citoyenneté, de civilisation, de société”… De la morale “naturelle” en rapport avec les principes du fonctionnement, de la relation entre les êtres et les choses de l’univers…
Les bonnes questions ? Quels sont ceux et celles d’entre nous, qui se les posent vraiment ? Elles sont souvent perçues “dérangeantes” ces questions…
C’est “tellement plus facile”, plutôt que de s’éterniser à des réflexions, à des interrogations auxquelles l’on ne trouve pas vraiment de réponse, et dont le “discours” auquel on se livre s’apparente à un “pensum scolaire” lorsque ce “discours” est donné en face d’un public – même d’un public “un peu moins indifférent” – C’est “tellement plus facile” de s’appuyer, de se “sécuriser” – de se figer dirais-je – sur des repères bien visibles, sur des “modèles”, des “canevas” – en somme du “prêt à porter”, comme un “pantalon censé être à la mesure de son cul” !
D’où les religions, d’où la morale ! Et, en conséquence, les autoritarismes, les dictats, les principes, les “vases sacrés” ! … Et les préjugés, la domination des apparences, les hypocrisies, tout ce “trou-de-balisme” dont le principe est celui qui, pour prendre cette image, est le même qu’une olive bien huilée enfoncée profondément dans le fondement ! … “ça fait du bien par où ça passe, mais gare dans trois jours la diarrhée ou au contraire la constipation qui va te mettre l’intérieur du ventre en compote ou en mortier” !
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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