Si les gens heureux...
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Si les gens heureux...
… Si les gens heureux ne perdent pas leur temps à faire du mal aux autres, et si la méchanceté est le fait des malheureux, des aigris, des amers et des jaloux…
Il n’en demeure pas moins – et ce n’est nullement condamnable – que les gens “heureux dans leur pensée et dans leur esprit”, s’il leur arrive d’être agressés ou violemment et lapidairement contestés, ne perdent alors jamais leur temps, s’ils agressent leur agresseur, s’ils font du mal à leur agresseur…
Ne pas pouvoir agresser son agresseur, notamment lorsque l’agresseur est inatteignable, anonyme, ou dans une situation où l’on ne peut réagir… C’est une véritable souffrance !
Et contre cette souffrance là, il n’ y a que la “morphine” de la réactivité – autant que possible immédiate – pour la soulager…
C’est à dire, lorsque l’agresseur est atteignable, l’agresser autant sinon plus qu’il nous a agressé ; et, lorsqu’il n’est pas atteignable, l’agresser par la mitraille des mots et de la caricature iconoclaste, sur le grand mur le long duquel tout le monde passe, afin que si l’agresseur se reconnaît dans ce qu’il voit écrit sur le grand mur, ça lui fasse saigner les gencives !
L’agresseur agressé n’est jamais une victime, c’est toujours une ordure ! Et les ordures, on les brûle ou on les enterre… Mais bon, c’est vrai aussi, on peut en faire du compost…
Il n’en demeure pas moins – et ce n’est nullement condamnable – que les gens “heureux dans leur pensée et dans leur esprit”, s’il leur arrive d’être agressés ou violemment et lapidairement contestés, ne perdent alors jamais leur temps, s’ils agressent leur agresseur, s’ils font du mal à leur agresseur…
Ne pas pouvoir agresser son agresseur, notamment lorsque l’agresseur est inatteignable, anonyme, ou dans une situation où l’on ne peut réagir… C’est une véritable souffrance !
Et contre cette souffrance là, il n’ y a que la “morphine” de la réactivité – autant que possible immédiate – pour la soulager…
C’est à dire, lorsque l’agresseur est atteignable, l’agresser autant sinon plus qu’il nous a agressé ; et, lorsqu’il n’est pas atteignable, l’agresser par la mitraille des mots et de la caricature iconoclaste, sur le grand mur le long duquel tout le monde passe, afin que si l’agresseur se reconnaît dans ce qu’il voit écrit sur le grand mur, ça lui fasse saigner les gencives !
L’agresseur agressé n’est jamais une victime, c’est toujours une ordure ! Et les ordures, on les brûle ou on les enterre… Mais bon, c’est vrai aussi, on peut en faire du compost…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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