L'écriture inclusive
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L'écriture inclusive
… La complaisance à l’égard de l’écriture inclusive n’est en aucune façon la marque d’une ouverture d’esprit…
C’est, dis-je, plutôt une “parodie” d’ouverture d’esprit, voire même une insulte à l’ouverture d’esprit…
L’écriture inclusive fait “pencher la balance” du côté de l’obscurantisme et ses promoteurs sont de “sombres crétins”. ( Excusez moi, “sombres crétins” c’est “un peu expéditif” comme “formule” mais bon...)
Question transcription dans un texte écrit lorsque l’on lit : les avocat-e-s, ça ressemble à rien, c’est une destruction de la transcription du langage par l’écriture, du fait qu’à lecture, le “e” accompagné d’un trait de chaque côté, c’est assez gênant ; et de surcroît, comment peut-on prononcer de vive voix “les avocat-e-s” quand il y a en cour de Justice, présents des hommes avocats et des femmes avocates ?
Il n’y a pas que je sache, de son de voix, qui exprime le tiret ! Et si ce son pouvait s’émettre, alors est-ce que l’on “zézayerait” le “s” du pluriel ? Je n’arrive pas à imaginer, ce que cela donnerait “les avocat-e-s” par la parole prononcée, articulée !
Donc, grammaticalement, l’écriture inclusive (avec “e” accompagné de chaque côté par “-” et suivi de “s” au pluriel, c’est totalement incorrect, inacceptable, absurde !
Une manière “malsaine” et d’une totale hypocrisie, de surcroît “contre productive”, de “promouvoir” l’égalité hommes femmes, par l’adoption de l’écriture inclusive ! ( l’on ferait mieux, ce serait plus juste et surtout plus intelligent, de commencer par instaurer l’égalité des salaires entre les hommes et les femmes, ce qui, dans certaines professions, activités et métiers, en France, n’est toujours pas le cas) !
Si l’on voulait vraiment “féminiser” en privilégiant le féminin sur le masculin – ce qui à mon sens “serait plus acceptable”, il faudrait alors dire et écrire pour les personnes exerçant la profession d’avocat : “les avocates”… Mais dans ce cas, cela voudrait dire que la profession d’avocat ne serait exercée que par des femmes… Ce qui serait faux, absurde !
L’ouverture d’esprit c’est comme la tolérance : l’on ne peut pas faire n’importe quoi au nom de l’ouverture d’esprit, ou au nom de la tolérance !
La complaisance est une triste parodie de la tolérance et de l’ouverture d’esprit ! C’est entrer dans la régression, que d’être complaisant ; c’est aussi du renoncement, de la lâcheté ; c’est accepter la médiocrité ambiante en matière de culture et de relation, par la recherche devenant habituelle de la facilité dans l’usage de la parole et de l’écriture… (C’est hélas le sens dans lequel évolue le monde, la société, la civilisation d’aujourd’hui- notamment par rapport à ce que l’on a connu dans le milieu du siècle précédent, le 20ème)…
C’est, dis-je, plutôt une “parodie” d’ouverture d’esprit, voire même une insulte à l’ouverture d’esprit…
L’écriture inclusive fait “pencher la balance” du côté de l’obscurantisme et ses promoteurs sont de “sombres crétins”. ( Excusez moi, “sombres crétins” c’est “un peu expéditif” comme “formule” mais bon...)
Question transcription dans un texte écrit lorsque l’on lit : les avocat-e-s, ça ressemble à rien, c’est une destruction de la transcription du langage par l’écriture, du fait qu’à lecture, le “e” accompagné d’un trait de chaque côté, c’est assez gênant ; et de surcroît, comment peut-on prononcer de vive voix “les avocat-e-s” quand il y a en cour de Justice, présents des hommes avocats et des femmes avocates ?
Il n’y a pas que je sache, de son de voix, qui exprime le tiret ! Et si ce son pouvait s’émettre, alors est-ce que l’on “zézayerait” le “s” du pluriel ? Je n’arrive pas à imaginer, ce que cela donnerait “les avocat-e-s” par la parole prononcée, articulée !
Donc, grammaticalement, l’écriture inclusive (avec “e” accompagné de chaque côté par “-” et suivi de “s” au pluriel, c’est totalement incorrect, inacceptable, absurde !
Une manière “malsaine” et d’une totale hypocrisie, de surcroît “contre productive”, de “promouvoir” l’égalité hommes femmes, par l’adoption de l’écriture inclusive ! ( l’on ferait mieux, ce serait plus juste et surtout plus intelligent, de commencer par instaurer l’égalité des salaires entre les hommes et les femmes, ce qui, dans certaines professions, activités et métiers, en France, n’est toujours pas le cas) !
Si l’on voulait vraiment “féminiser” en privilégiant le féminin sur le masculin – ce qui à mon sens “serait plus acceptable”, il faudrait alors dire et écrire pour les personnes exerçant la profession d’avocat : “les avocates”… Mais dans ce cas, cela voudrait dire que la profession d’avocat ne serait exercée que par des femmes… Ce qui serait faux, absurde !
L’ouverture d’esprit c’est comme la tolérance : l’on ne peut pas faire n’importe quoi au nom de l’ouverture d’esprit, ou au nom de la tolérance !
La complaisance est une triste parodie de la tolérance et de l’ouverture d’esprit ! C’est entrer dans la régression, que d’être complaisant ; c’est aussi du renoncement, de la lâcheté ; c’est accepter la médiocrité ambiante en matière de culture et de relation, par la recherche devenant habituelle de la facilité dans l’usage de la parole et de l’écriture… (C’est hélas le sens dans lequel évolue le monde, la société, la civilisation d’aujourd’hui- notamment par rapport à ce que l’on a connu dans le milieu du siècle précédent, le 20ème)…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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