Les deux dimensions de l'espace de communication
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Les deux dimensions de l'espace de communication
… Je n’arrive pas à concevoir l’existence, la vie, autrement que dans un espace de communication…
Sans espace de communication, par exemple avec en face et autour de soi, rien que de l’inanimé, du “non vivant”, par exemple un mur de pierre, de bois, de briques, de contre plaqué, de verre, de métal ; ou encore une étendue de cailloux et de sable à perte de vue jusqu’à un horizon indiscernable, l’intérieur d’une “capsule de survie” genre “canot de sauvetage” dans le cosmos à la suite d’un naufrage de vaisseau spatial…
Sans espace de communication, la vie n’a plus aucun sens…
Et cet espace de communication, il est fait de tout ce qui est vivant autour de soi, qui émet, se sent, se touche, se voit, s’entend, s’écoute…
Il est fait, cet espace de communication, de tout ce que l’on émet, transmet, exprime de soi par la parole, l’écriture, le regard, le geste, d’une part…
Et par tout ce que l’on reçoit de tout ce qui est vivant, qui émet du son, qui se meut, qui sent, se touche ; et si c’est d’un être humain, ce qui est exprimé par la parole, l’écriture, le geste, en plus de tout ce qui vient de tout être vivant, d’autre part…
Autrement dit les deux sens nécessaires, intemporels, vitaux dirais-je, ou les deux dimensions, de l’espace de communication…
Il y a “quelque chose d’absolument dramatique”, de “grave”, à se sentir exister dans les limites de l’être que l’on est, “tout seul dans sa peau”, et de savoir que l’on n’est, n’ a été et ne sera tel que l’on est, à la fois si semblable et si différent des autres, et si unique à nul autre pareil… Qu’une seule fois dans l’éternité, dans l’espace…
Sans espace de communication, par exemple avec en face et autour de soi, rien que de l’inanimé, du “non vivant”, par exemple un mur de pierre, de bois, de briques, de contre plaqué, de verre, de métal ; ou encore une étendue de cailloux et de sable à perte de vue jusqu’à un horizon indiscernable, l’intérieur d’une “capsule de survie” genre “canot de sauvetage” dans le cosmos à la suite d’un naufrage de vaisseau spatial…
Sans espace de communication, la vie n’a plus aucun sens…
Et cet espace de communication, il est fait de tout ce qui est vivant autour de soi, qui émet, se sent, se touche, se voit, s’entend, s’écoute…
Il est fait, cet espace de communication, de tout ce que l’on émet, transmet, exprime de soi par la parole, l’écriture, le regard, le geste, d’une part…
Et par tout ce que l’on reçoit de tout ce qui est vivant, qui émet du son, qui se meut, qui sent, se touche ; et si c’est d’un être humain, ce qui est exprimé par la parole, l’écriture, le geste, en plus de tout ce qui vient de tout être vivant, d’autre part…
Autrement dit les deux sens nécessaires, intemporels, vitaux dirais-je, ou les deux dimensions, de l’espace de communication…
Il y a “quelque chose d’absolument dramatique”, de “grave”, à se sentir exister dans les limites de l’être que l’on est, “tout seul dans sa peau”, et de savoir que l’on n’est, n’ a été et ne sera tel que l’on est, à la fois si semblable et si différent des autres, et si unique à nul autre pareil… Qu’une seule fois dans l’éternité, dans l’espace…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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