Est-ce que la provocation et la dénonciation sont possibles sans amertume ?
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Est-ce que la provocation et la dénonciation sont possibles sans amertume ?
… Peut-on être dans la provocation, dans la dénonciation, dans l’attaque, dans la violence de propos en parole ou en écriture ou en caricature…
Sans pour autant être dans l’amertume et dans la rancœur ? Et sans tomber dans le répétitif quand bien même ce qui est répété l’est différemment et dans toute une “gamme” de formulations et de contenus sur les mêmes thèmes ?
Difficile…
Et… Quelle pourrait alors être la lecture, par les autres autour de soi, de ce qui parviendrait à être exprimé dans la provocation, dans la dénonciation, mais sans rancœur, sans amertume… Autant qu’il est possible ? Ou du moins, avec ce qui pourrait être de la rancœur et de l’amertume “canalisés au mieux” ?
Être dans la provocation et dans la dénonciation avec le moins d’amertume et de rancœur possibles ; devrait avoir plus d’impact, plus de portée… Encore faudrait-il que la lecture qui en est faite, soit la “bonne lecture”…
Car la lecture faite par les autres autour de soi, dans la mesure où cette lecture rejoint l’amertume et la rancœur qui habite l’autre, les autres…Incite à un partage de ce qui est ressenti entre deux ou plusieurs interlocuteurs… Un partage, en fait, sans perspective et comme figé tel la sauce refroidie dans un plat que l’on se passe entre convives réunis…
En littérature et en art, la dimension qui semble la plus commune et dans laquelle les auteurs de toutes sortes d’œuvres se situent – pour autant que l’on puisse, cependant, parler de littérature et d’art – cette dimension est celle, soit de l’adhésion à ce qui doit plaire ou distraire, soit de l’inclination à la dénonciation et à la provocation dans l’amertume…
Mais il existe – peut-être – une autre dimension que celle, soit de l’adhésion à ce qui est commun et qui passe aisément ; soit de l’inclination à exprimer dans l’amertume…
Il est difficile d’y entrer, dans cette dimension là, indépendante des deux autres en lesquelles on entre habituellement…
… S’il ne pouvait demeurer, dans cette “autre dimension”, QUE la provocation et la dénonciation !… Mais pas l’amertume…
Sans pour autant être dans l’amertume et dans la rancœur ? Et sans tomber dans le répétitif quand bien même ce qui est répété l’est différemment et dans toute une “gamme” de formulations et de contenus sur les mêmes thèmes ?
Difficile…
Et… Quelle pourrait alors être la lecture, par les autres autour de soi, de ce qui parviendrait à être exprimé dans la provocation, dans la dénonciation, mais sans rancœur, sans amertume… Autant qu’il est possible ? Ou du moins, avec ce qui pourrait être de la rancœur et de l’amertume “canalisés au mieux” ?
Être dans la provocation et dans la dénonciation avec le moins d’amertume et de rancœur possibles ; devrait avoir plus d’impact, plus de portée… Encore faudrait-il que la lecture qui en est faite, soit la “bonne lecture”…
Car la lecture faite par les autres autour de soi, dans la mesure où cette lecture rejoint l’amertume et la rancœur qui habite l’autre, les autres…Incite à un partage de ce qui est ressenti entre deux ou plusieurs interlocuteurs… Un partage, en fait, sans perspective et comme figé tel la sauce refroidie dans un plat que l’on se passe entre convives réunis…
En littérature et en art, la dimension qui semble la plus commune et dans laquelle les auteurs de toutes sortes d’œuvres se situent – pour autant que l’on puisse, cependant, parler de littérature et d’art – cette dimension est celle, soit de l’adhésion à ce qui doit plaire ou distraire, soit de l’inclination à la dénonciation et à la provocation dans l’amertume…
Mais il existe – peut-être – une autre dimension que celle, soit de l’adhésion à ce qui est commun et qui passe aisément ; soit de l’inclination à exprimer dans l’amertume…
Il est difficile d’y entrer, dans cette dimension là, indépendante des deux autres en lesquelles on entre habituellement…
… S’il ne pouvait demeurer, dans cette “autre dimension”, QUE la provocation et la dénonciation !… Mais pas l’amertume…
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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