Résistance, mais laquelle et avec quelles armes ?
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Résistance, mais laquelle et avec quelles armes ?
… Il y a dans l'évolution de la société, des mentalités, des comportements, en somme de « l'air du temps », quelque chose qui me gêne et à quoi je ne puis adhérer...
C'est ce paradoxe entre d'une part ce qui incite, pousse, fait avancer la société, la civilisation, vers un « mieux », une autre orientation que celle du « toujours plus » dans la consommation, du profit, de l'individualisme ; une orientation vers davantage de bien être accessible au plus grand nombre, à une liberté et à une responsabilité citoyenne (ce à quoi j'adhère) … Et d'autre part ce qui mine, tend à détruire cette même société, cette même civilisation, en brandissant des effigies de démons, des étendards de ralliement à des causes partisanes, à des appels à la haine et finalement, à une désobéissance qui n'est plus celle de sa vocation première et naturelle, autant dire une désobéissance qui n'est autre que celle d'une obéissance à une autre forme d'ordre se substituant à l'ordre précédent... Cela je ne puis l'accepter... J'y suis résolument opposé, je m'en méfie et m'en détourne...
Mais quelles sont, quelles « doivent » être les armes à prendre, quel « combat » mener, dans la résistance... Et quelle résistance ?
Les mots que l'on dit et que l'on écrit, peuvent-ils avoir un pouvoir, peuvent-ils impacter, peuvent-ils interroger, peuvent-ils ouvrir des « passages » jusqu'alors à peine entrevus sinon jamais envisagés ?
Et au delà des mots, les regards ?
Faut-il remplacer ce que l'on nie, ce que l'on refuse, par une autre négation ?
Faut-il combattre la haine par une autre forme de haine ?
Que veut dire « pardonner » autrement que dans le sens que l'on donne au pardon ?
Que faut-il faire de ce que nous enseigne l'Histoire, autrement que sur fond de « leçon de morale » ?
… Peut-être... Peut-être que plus les questions viennent, et plus on parvient à se libérer de la gravité de ce qu'elles contiennent... Plus les « armes » alors, apparaissent... Telles qu'elles ont toujours existé, assemblées des pièces dont elles sont faites ; aujourd'hui enrayées, enfouies quelque part dans le sol d' une sorte d' Atlantide »...
C'est ce paradoxe entre d'une part ce qui incite, pousse, fait avancer la société, la civilisation, vers un « mieux », une autre orientation que celle du « toujours plus » dans la consommation, du profit, de l'individualisme ; une orientation vers davantage de bien être accessible au plus grand nombre, à une liberté et à une responsabilité citoyenne (ce à quoi j'adhère) … Et d'autre part ce qui mine, tend à détruire cette même société, cette même civilisation, en brandissant des effigies de démons, des étendards de ralliement à des causes partisanes, à des appels à la haine et finalement, à une désobéissance qui n'est plus celle de sa vocation première et naturelle, autant dire une désobéissance qui n'est autre que celle d'une obéissance à une autre forme d'ordre se substituant à l'ordre précédent... Cela je ne puis l'accepter... J'y suis résolument opposé, je m'en méfie et m'en détourne...
Mais quelles sont, quelles « doivent » être les armes à prendre, quel « combat » mener, dans la résistance... Et quelle résistance ?
Les mots que l'on dit et que l'on écrit, peuvent-ils avoir un pouvoir, peuvent-ils impacter, peuvent-ils interroger, peuvent-ils ouvrir des « passages » jusqu'alors à peine entrevus sinon jamais envisagés ?
Et au delà des mots, les regards ?
Faut-il remplacer ce que l'on nie, ce que l'on refuse, par une autre négation ?
Faut-il combattre la haine par une autre forme de haine ?
Que veut dire « pardonner » autrement que dans le sens que l'on donne au pardon ?
Que faut-il faire de ce que nous enseigne l'Histoire, autrement que sur fond de « leçon de morale » ?
… Peut-être... Peut-être que plus les questions viennent, et plus on parvient à se libérer de la gravité de ce qu'elles contiennent... Plus les « armes » alors, apparaissent... Telles qu'elles ont toujours existé, assemblées des pièces dont elles sont faites ; aujourd'hui enrayées, enfouies quelque part dans le sol d' une sorte d' Atlantide »...
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" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
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