La pudeur n'est guère d'actualité ...
Page 1 sur 1
La pudeur n'est guère d'actualité ...
… La pudeur devant ce qui est grand, beau, fort, noble, pur… Si difficile à extraire de la laideur du monde et qui ne se voit pas forcément, cette beauté, cette grandeur … N’est pas loin s’en faut, d’actualité… Ne l’a même jamais été…
Cette pudeur faite de discrétion et d’humilité… Mais néanmoins pouvant être exprimée pour autant que l’on trouve la formulation pour l’exprimer…
En revanche l’impudeur qu’il y a à “s’exister” à n’importe quel prix notamment à coup de coude ou de genou afin de parvenir, comme dans une assemblée de financiers, d’employés de grandes entreprises ayant atteint leurs objectifs de production, autour de la table du buffet auprès du Grand Boss et de ses séides les mieux placés dans la hiérarchie… Cela, oui, c’est d’actualité !
Les fragrances ou les “fleurences” de cette impudeur nous chatouillent les narines et cela d’autant mieux que l’on est jeune et beau, en bonne santé… Ou “un tantinet déjà rassis”et encore performant, autrement dit “d’une cinquantaine confortable”… Et “ça se sent dans les haleines au relents de petits fours et de curaçao ou de cocktails corsés” autour de la grande table et du Boss et de ses séides qui président… Soit dit en passant le port du masque en réunions avec la distanciation “relative” que l’on imagine, fait obstacle non seulement au virus mais aussi aux “fleurences” de ces haleines “chargées” (rire)…
Cela dit, dans les salons littéraires, c’est un peu la même chose… Et dans les réseaux sociaux, c’est la “jactance plus ou moins cocoricotique – ou acid’sulfurique” qui tient lieu d’haleine… (Re- rire)…
Cette pudeur faite de discrétion et d’humilité… Mais néanmoins pouvant être exprimée pour autant que l’on trouve la formulation pour l’exprimer…
En revanche l’impudeur qu’il y a à “s’exister” à n’importe quel prix notamment à coup de coude ou de genou afin de parvenir, comme dans une assemblée de financiers, d’employés de grandes entreprises ayant atteint leurs objectifs de production, autour de la table du buffet auprès du Grand Boss et de ses séides les mieux placés dans la hiérarchie… Cela, oui, c’est d’actualité !
Les fragrances ou les “fleurences” de cette impudeur nous chatouillent les narines et cela d’autant mieux que l’on est jeune et beau, en bonne santé… Ou “un tantinet déjà rassis”et encore performant, autrement dit “d’une cinquantaine confortable”… Et “ça se sent dans les haleines au relents de petits fours et de curaçao ou de cocktails corsés” autour de la grande table et du Boss et de ses séides qui président… Soit dit en passant le port du masque en réunions avec la distanciation “relative” que l’on imagine, fait obstacle non seulement au virus mais aussi aux “fleurences” de ces haleines “chargées” (rire)…
Cela dit, dans les salons littéraires, c’est un peu la même chose… Et dans les réseaux sociaux, c’est la “jactance plus ou moins cocoricotique – ou acid’sulfurique” qui tient lieu d’haleine… (Re- rire)…
_________________
" Nous ne pouvons savoir! Nous sommes accablés d'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères" [Arthur Rimbaud ]
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous pouvez répondre aux sujets dans ce forum
|
|